Portraits vivants

Profession bergère

Emilie Laurent, éleveuse et productrice de fromages de brebis

Loin des clichés ou d’une aventure pseudo romantique, d’un retour à la nature bucolique prôné dans les années 70 , il y a aussi et surtout une véritable agriculture de montagne possible et nécessaire. Emilie élève sur les hauteurs de Fresse sur Moselle un troupeau de brebis et produit des fromages. 80 animaux de race « Manech à tête rousse » originaires du pays basque. La ferme, bergerie et labo sont à + de 700 m d’altitude et sur 30 hectares. Emilie 38 ans, 3 enfants est seule sur son exploitation. Le décor est planté, bienvenue dans la vraie vie à « La Bergerie de Draimont » ou la passion et le courage sont essentiels.

Le bien être animal est une priorité à l’activité de paysan éleveur

La traite des brebis… 7/7 e avec une pause de mi septembre à mi décembre lorsque les brebis sont pleines.

Une cave d’ affinage sous la fromagerie.

Retour en Argentique

Et si on prenait le temps

Profession Paysan

Retour vers le labo, arrêter le temps

La photo noir & blanc est intemporelle. Rien ne change ni ne s’altère, seuls les produits finissent par mourir. 30 ans séparent certaines de ces photos, et pourtant, la magie opère toujours. Retour à la photo argentique et surtout ai n&b

Vision furtive sur le dépoli

Une anecdote intéressante sur la démarche : Dans les années 70, sur une pellicule 120 de 12 poses, il fallait compter sur une sélection de 6 photos, et sur un film 24 x 36 de 36 poses le résultat était de même. De nos jours à l’ heure des cartes mémoire riches en Giga octets rien n’a changé, souvent 6 photos sortent du lot…

Simplicité aussi dans le matériel. deux boitiers trois optiques…

Une chose est certaine, le temps s’arrête autrement en argentique et en noir et blanc plus particulièrement. Chaque photo compte, demande du temps et de l’attention, l’ image est palpable tactile et vivante. Même lorsque qu’elle est scannée numérisée, elle reste une réalisation originale. Le processus est comme une thérapie dans ce monde en dépression ou le téléphone, les écrans et l’intelligence artificielle ont bouleversé notre vie. Allé à l’essentiel

Amies proches ou simples inconnues

Arrêter le temps…

Les banques d’images… et … l’IA

Une campagne de communication assumée. Certain trouve ça génial…

Un monde au travers d’un écran et d’une machine.

Le projet de label …

En mode nostalgie avec ce LEICA M6, symbole d’une époque

On est tous bien heureux de bénéficier de l’IA dans notre GPS et bien d’autres outils disponibles. Les applications dans ce sens facilitent la vie des hommes, mais le robot est sorti de son tiroir, le salopard. ChatGPT pour ce qui des textes, et des applications pour l’illustration, la photographie. Il en émerge de partout. Une nouvelle « créativité » voit le jour. Bienvenue dans le monde du clic « créatif ». J’ai des doutes sur le terme. Pour moi, pour nous c’est la fin d’un monde, la perte de la réalité, et des valeurs qui nous ont porté, et me portent encore. Aujourd’hui, pour certain c’est une roue de secours pour gagner du temps mais demain ce sera le standard. A quoi bon s’embêter à chercher les bonnes photos, les bons mots pour raconter une histoire. L’IA et les banques d’images se chargeront de la mission. Ils sont accessibles pour quelques Euros et quelques clics sans la moindre créativité. Le rouleau compresseur de cette nouvelle vision de la communication est bien trop gros pour imaginer l’arrêter. Je n’ai pas d’autres solution que de le regarder passer. Alors, qui m’aime me suit.

Les algorithmes, ce nom barbare décident de la façon dont je dois travailler, regarder, photographier, filmer. Ils censurent, coupent, décident de la tendance que je dois donner à mes images, de la durée de mes vidéos et de l’heure de leurs passages. Les algorithmes savent reconnaitre un visage, un texte, un sein et décident alors, de censurer l’auteur. Ces robots inventés par des hommes ont pris la main sur nos choix de consommation, sur notre culture et notre façon de penser… Vous vous dites ça y est le Michel Laurent est touché par la théorie du complot… Je répondrais, y a de la luzerne à la cantine. Réveillons nous et ne lâchons rien !

Sans commentaire, ou 100 commentaires …

Une photo truquée qui a beaucoup tournée malgrés les mentions « fake news »

Le genre de visuel que l’on commence à rencontrer partout, sympathique pour un papier peint au wc mais …

La mondialisation des visuels, la même photo pour tous ! Le mal est profond et il se retrouve partout. C’est souvent les agences de communication sans scrupule et sous couvert d’économie, qui proposent ce genre de démarche. Au final, c’est surtout un manque de volonté.

Heureusement ce n’est pas le cas de tout le monde. Certaine entreprises sont conscientes de l’ADN visuel de leur communication. Groupe Livio Vosges

Exemple type: Une cliente et une professionnelle de santé.
Des dizaines de visuels identiques pour des démarches parfois très différentes.

Il suffit juste de changer le titre …

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La Caisse d’EPARGNE…

Vous savez la caisse d’épargne ?

Un visuel « bien de chez nous. Joli couple, beaux enfants …

Un visuel pleine page sur un journal quotidien.
Version Russe

Version Allemande !

Version Japonaise…

Banque Populaire… de Lorraine

Sympa la page d’accueil, ça donne confiance. On se dit que bien sur les portraits sélectionnés sont des gens de chez nous !

Et ben non…

La communication visuelle de la Banque pioche comme tous le monde dans les banques d’images pour alimenter ses pages… Les sympathiques artisans Français sont en fait Américains ou Mexicains…

C’est aussi simple de télécharger une photo de n’importe ou, que de retrouver ou cette photo a été prise …

Et que dire de la mention « DR » Droits réservé, qui ne veut rien dire.
Cette pratique permet surtout aux diffuseurs de se dispenser de demander l’autorisation à l’auteur,

et a fortiori de le rémunérer…

Hé non, DR ce n’est pas Didier Renard, un illustre photographe…

Juridiquement, c’ est tromper pour vendre.

Guide hiver 100 % Vosges 2021 / 2022


… un élu m’a dit il y a quelque temps « Tu as des petits soucis, toi ! » Ce sont des soucis qui collent à mon boulot.

Je suis photographe, c’est ma mission, j’aime bien ce terme (*). Je traque et photographie l’authentique depuis des décennies. Je ne porte pas toujours l’espèce humaine dans mon cœur mais lorsque je rencontre des femmes et des hommes dans leurs vies de tous les jours, j’adore ça. Exemple avec mes copines fromagères qui se lèvent aux aurores pour nous offrir de bons produits. De même avec tous ces artisans, industriels, chefs et cheffes d’entreprises, restaurateurs … etc, qui sont devenus des amis, qui doivent jongler et s’adapter avec les normes et un système toujours plus complexe, je touche souvent à l’excellence.
Dans ce monde ultra connecté il y a le « gratuit », les réseaux sociaux en font partie. Dans les Vosges nous avons 100% Vosges. Le défi de cette revue est d’offrir à tous un portail gratuit, afin pour les lecteurs, car les annonceurs payent leurs pages… Le prendre, l’ouvrir et le lire c’est accepter son contenu. Je suis en conflit depuis des lustres avec sa rédaction sur le type de visuels utilisés qui proviennent souvent de banques d’images internationales, sans parler des mentions DR (droit réservé), qui sont une aberration. Je suis aussi en conflit avec les agences de communication qui agissent de même. On me répète souvent, laisse tomber, ça ne changera jamais. Moi non plus je ne changerai jamais et je ne lâche rien. Je suis donc revenu en détail sur le contenu du dernier « Guide Hiver », Il est impressionnant, c’est un cas d’école.
Je ne fais pas que râler, je réfléchis et j’ai plusieurs fois proposé à différentes structures, le département, le conseil régional, les com/com, Parc des Ballons, Massif des Vosges, l’idée d’une banque d’images Vosges, une agence photos
 Vosges. Très bonne idée m’a-t-on dit mais sans suite…
Le concept est simple. Tous photographes (pros) auraient la possibilité d’héberger des visuels ciblés Vosges et qui seraient vendus ensuite en ligne à toutes personnes ou structures à la recherche de visuels « authentiques ». Par ce concept, rien de bien nouveau, on aurait l’assurance de promouvoir notre région avec des photos signées locales et pas des visuels Russes ou Américains, comme c’est trop souvent le cas. La deuxième solution est bien plus simple. Copier/coller… Et en 3 clics, à bas coût vous avez une page de pubs
 ou de promotionhautes en couleurs. Effet Wouahh ! garanti parait
il. Effet flan, vous voulez dire. Les Vosges sont magnifiques, authentiques, riches d’une culture et d’un terroir que bien des régions nous envient
. Je suis triste et en colère quand je vois des photos de n’importe où promouvoir ma région…

Ma démarche n’est pas que de dénoncer, d’accuser. Je sais très bien que rien n’est simple mais je sais aussi que les mêmes personnes qui rédigent ces pages consomment locales et sont attachées à des concepts de vies qui sont les mêmes que moi.

Alors bougez-vous les gens…

Bienvenue dans les Vosges Russes !

De la neige, des sapins, des bonnets… Mais en Russie à SHEREGESH au nord de la Mongolie…

Un doute sur cette photo, les Alpes ? En tous cas pas dans les Vosges …
Quand je pense à tous nos brasseurs …
Et toujours ce complexe vis à vis des Alpes. Et pourtant…
La photo « bateau » d’un équipage de chien de traineau. L’autre fois c’était au canada…
Le savoir faire en question…
Sans commentaire
N’importe quoi …

Et comme souvent l’histoire débute bien.

Exemple: Les glaces Thiriet. Très belle photo de communication réalisée par un photographe. Et à la suite, sa version calendrier.

C’est pour le restant des pages que cela ce gatte. Les autres visuels proviennent de banques d’images et les acteurs sont des Nord américains, de type Caucasiens, puisque c’est aussi ça le critère… Dommage, on aurait aimé des français, des gens de chez nous, cohérents avec les slogans de la communication.

La version n&b
La version n&b d’une des 6 pages du calendrier, qui pour le coup est plutôt sympa.
Et juste dessous le visuel sur une autre plate forme… Idem pour les autres pages.
Peut être une piste. La création d’un logo, d’un label.
Celle ou celui qui utilise des visuels correspondants aux contenus des pages peut valider son article d’une mention dans ce genre. Le VAOC …

Open Bar et Fake news…

Depuis quelques années certains « communicants » peu scrupuleux font appel à la ressource des banques d’images pour illustrer sans bouger leurs pages et articles, blogs, flyers et autres plates forme internet . Bienvenue dans le monde du copier/coller. Les exemples ne manquent pas. Les vidéos des dernières élections présidentielles regorgeaient de personnages Nord américains. Le type Caucasien ! Il est bien plus simple d utiliser cette méthode à bas coût que d’aller sur le terrain, engager et payer un photographe. En quelques clics, rapidement avec des mots clés choisis, vous avez pour quelques € une banque d’images digne d’une agence de presse.

Exemple type:
Le terroir Vosgien se dévoile. Le paysage est bucolique, les couleurs sont chatoyantes mais c’est tout faux.
Il s’agit en fait d’une photo de Forêt Noire. La fameuse ligne bleue des Vosges est en fait au fond dans le brouillard…

J’ai pris contact avec les différents acteurs de cette supercherie, il tapent tous en touche et se renvois la balle. Retour de la journaliste qui a pris, elle, le temps de « répondre »
« Si je suis bien la personne qui a écrit l’article, je ne m’occupe ni de l’iconographie, ni de la mise en page : l’agence qui réalise le magazine pour ……….. a ses propres services dédiés. En tant que journaliste pigiste, je ne travaille pas dans leurs locaux et je ne découvre l’article finalisé qu’après parution. J’ai informé le rédacteur en chef de votre message » J’ attend sa réponse …!

Sur cette page, seul le personnage en bas à droite est à sa place. La jeune femme blonde admire un village d’ Autriche, les myrtilles sont en fait des bleuets en Turquie, quant au cerf, il vit dans un parc, on distingue les poteaux au fond.

Il est aussi simple de télécharger une photo, que de retrouver son origine. Il suffit de faire un glisser/coller du visuel ou de l’url… et de vérifier la source des visuels.

L’outil s’appel « Tineye »





Le sujet n’est pas d’aujourd’hui… Pèle mêle quelques pépites…

Reine d’abeilles

L’Apiculture selon Margot

Margot, apicultrice professionnelle m’a invitée à découvrir son monde. Elle m’a expliquée sa méthode et sa vision de l’apiculture. Je l’ ai rencontrée pour une journée autour de la sélection de reines d’abeilles et leurs intégrations dans ses propres colonies. Ses chemins de vie l’ont amenés à vivre au milieu des abeilles. Son approche est bienveillante et ses ouvrières sont étonnamment calmes, à tel point que la tenue de protection pourrait presque être inutile. Nous nous sommes habillés tout de même par sécurité. Les seules piqùres que j’ai ramené de cette journée me viennent des orties sur le bord du chemin ou était garée ma voiture…

A sa naissance, l’ abeille, futur ouvrière, tire la langue afin de rechercher un premier contact avec ses congénères. C’est par les phéromones que les échanges se font principalement. Si j’osais, je dirais que sur ce point, il y a quelques similitudes avec nous, les humains !

La technique du picking ou greffage, consiste à récupérer une minuscule larve d’abeille et de la déposer au fond d’une cupule. Il faut être précis, et bien sûr au calme, l’opération est minutieuse.

Sur ce cadre, différentes cellules à différents stades d’évolution. C’est une seule et unique reine qui a pondu dans chaque alvéole ces milliers d’abeilles, et ce, parfois pendant plusieurs saisons et années.

Une minuscule larve d’abeille en suspend au bout de ce petit pinceau qui donne un caractère magique à l’opération

Les cupules qui reçoivent les larves

Les cupules sont réintroduites dans la ruche, leurs positions verticales, à 90° des autres cellules indiquent aux ouvrières des emplacements de reine. Un subterfuge qui fonctionne plutôt bien

Nourries à la gelée royale, les cellules contenant les reines vierges sont récupérées, leur destin est scellé. Elles seront reines !

Les cellules contenant des reines sont maintenues à une certaine température jusqu’à éclosion dans des containers adaptés. La rigueur et la précision sont essentiels pour continuer l’histoire.

Ca y est, la reine est arrivée à son stade adulte, elle peut être déposée dans une ruche orpheline, après avoir été marquée, afin d’être facilement identifiable.

La nouvelle jeune futur reine vierge est en pleine forme. Son premier contact humain se fera avec Margot, sans doute essentiel pour la suite. Une relation s’installe

Une goutte de peinture adaptée et sans danger permet de bien retrouver la reine au milieu des milliers d’ ouvrières lors des interventions à venir. Margot tient l’insecte délicatement entre ses doigts, une pression trop forte pourrait blesser et même tuer la reine à venir.

Insertion dans une petite cage relais qui permettra à la futur reine un premier contact en douceur avec toute la colonie, à l’intérieur de la ruche.

La petite cage d’ insertion est déposée au milieu de sa futur colonie.

Les jeux sont faits, normalement la nouvelle reine sera acceptée par la colonie orpheline. Mais parfois le destin est tout autre et la petite nouvelle est sacrifiée ou ignorée. L’apiculture n’est pas une science exacte et c’est tant mieux !

Une tenue rigoureuse des interventions est nécessaire à l’organisation du rucher, de retour à la miellerie, Margot revoit ses notes et les intègre à un fichier Excel régulièrement mis à jour et consulté.

La reine vierge se doit d’être maintenant fécondée (en vol, une seule fois) par une dizaine de bourdons (un bourdon au centre de la photo, facilement identifiable) Elle se créera ainsi une spermathèque unique de plusieurs milliers de futurs abeilles.

Merci Margot pour cette invitation et collaboration. Comme j’aime à le dire tu sembles avoir trouvé ta place dans cette société parfois perdue. Ne change rien !

Inspiration

Nick Brandt…

Incroyable travail …

Françoise Huguier – Photographe de l' »Intime »…

Françoise Huguier débute sa carrière en free-lance, en 1976. Après plusieurs années passées à couvrir la mode, le cinéma et la politique pour “Libération”, celle qui se définit volontiers comme une “photographe documentaire” décide de partir en Afrique sur les traces de Michel Leiris. Ce périple lui inspire son premier ouvrage, “Sur les traces de l’Afrique fantôme” (1990), qui lui vaut d’être lauréate de la Villa Médicis hors les murs.

Mali, Timbuktu, 26 February 1989 From the book « Sur les traces de l’Afrique Fantôme ». Boso fisherman on the Niger river. Mali, Tombouctou, 26 février 1989 Issue du livre « Sur les traces de l’Afrique Fantôme ». Pêcheur boso sur le Niger. Françoise Huguier / Agence VU

Elle parcourt ensuite la Sibérie, le détroit de Behring, l’Afrique du Sud et le Cambodge où elle retourne sur les traces de son enfance indochinoise. De 2000 à 2007, elle séjourne deux mois par an dans les appartements communautaires de Saint-Pétersbourg. De cette immersion, elle tire un livre, “Kommunalki”, et un film, “Kommunalka”.

En parallèle, elle se consacre à la photo de mode (Polka #7) et travaille pour des titres comme “Vogue”, “Marie-Claire” et le “New York Times Magazine”. En 2014, une rétrospective, “Pince-moi je rêve”, lui est consacrée à la Maison européenne de la photographie. Ses derniers travaux exposés ont pour cadre la Corée où elle a séjourné en 1982 et où elle retourne en 2014 et 2015 (publié dans Polka #35).

En janvier 2023, Françoise Huguier est élue dans la section photographie de l’Académie des beaux-arts.

+ d’infos…. Source Polka

La Blonde, la Brune et le Barbu…

Comme parfois, c’est une histoire toute simple, un rendez vous sur un projet de reportage pour l’ office de Tourisme de La Bresse (Merci Claire P). L’idée était de faire des photos de communication touristique en toute simplicité avec Muriel, et sa petite famille. Le lieu, le lac de Blanchemer. S’en suivra 10 ans de collaboration et d’amitié, et des milliers de photos …

Dans le même temps Muriel débute sa carrière d’humoriste, « Mlle Serge », des photos s’ajoutent aux photos, l’amitié reste intact et devient complicité. Il faut que l’on fasse quelque chose, mais quoi, comment ? Laissons le temps…

Sur le tournage de …Making of

L’idée et l’envie mûrit doucement et sûrement. Il faut faire des reportages utiles cohérents et dans la vraie vie, se joint au duo, Sara, la bonne copine. La jeune femme, sérieuse à la ville et décomplexée devant l’objectif. Un trio est né et des projets éclosent avec l’ envie de raconter, de rencontrer, de partager et de promouvoir des lieux, des sites, des entreprises. Evidement, toujours dans la bonne humeur…

Le Voltaire des montagnes…

Alors des projets virent le jour et on prit la route. En duo ou en trio avec toujours le plaisir de se retrouver si cela est possible. Une volonté de respect et de simplicité et cette touche d’humour et de charme qui caractérisent les deux jeunes femmes.

Hyper marché Best en Moselle

Et puis les premières vidéos virent le jour, naturellement, Muriel m’aide au scénario et au montage. L’équipe se rôde, les images s’enchainent, on trouve nos marques et on ne lâche rien sinon ça tombe !

Conseil général des Vosges, « Dans les yeux de Mlle Serge »
Sports Passion avec Laurence Claudon
Communication visuelle Bol d’Air La Bresse
CDHV Confiserie des ht Vosges
Tissus Gisèle La Bresse

Les projets s’affinent et deviennent plus intimistes, on se fait confiance, on avance. La lumière est toujours belle avec Muriel et Sara !

Le Projet « La Haut et Spa » à Ventron. Photo et vidéo en immersion et en temps réel, une étape de plus…

Une version hiver et un épisode 2 fut même commencé !

En même temps, nous travaillons sur la Promotion régulière d’une boutique à Gerardmer, Créol’in. Une vraie valeur ajoutée pour cette entreprise.

Des photos de mode décalées dans des lieux prestigieux.
Visuel Créol »in Gerardmer

Lard de vivre avec Illico Perso à La Bresse et une nouvelle gamme de tee shirt

Et pourquoi pas, une autre expérience avec Vanessa et Sarha … Rendez-vous en terres vosgiennes

4° sur la plage, 4° dans l’eau.

L’idée d’ égéries et d’ ambassadrices fait son chemin, on accompagne des idées, des entreprises.

La Bresse Hohneck
Le Tétras à La Schulcht

L’aventure Hêtre une planche… Visuels et vidéo pour le SHIRA 2023 à Lyon

Dans l’ombre et en amont les projets sont bien ficelés et même si l’on se garde de l’improvisation, on veille à ne pas glisser… Hêtre une planche.

Evidemment de la gastronomie, Du Pain au Lard à La Bresse pour Ard ‘Time

Maintenant, aujourd’hui, malgré les aléas de la vie, notre histoire est devenue une petite entreprise. On est tous les trois convaincus que nos images sont bienveillantes et cohérentes avec notre société et notre région. Que les messages que nous voulons faire passer sont plein d’espoir et de gaité. Si comme moi, vous aimez mes deux complices, vous saurez bien nous trouver ! A bientôt

Muriel, Sara et Michel