Profession Charpentier

DECOBOIS Chalets, Saulxures sur Moselotte

Implantée à Saulxures sur Moselotte, l’entreprise DECOBOIS propose une gamme de chalets de style  » Alpage » Elle s’est imposée dans les Vosges sur un type de construction haut de gamme, obligeant à des prestations de qualité tant au niveau des matériaux utilisés que des réalisations. Mais et surtout, construire une maison, c’est avant tout une aventure humaine.

Par tous les temps…

Ma démarche de photographe d’entreprise est avant tout de mettre en lumière le travail des femmes et des hommes sur le terrain, dans leurs missions de tous les jours et par tous les temps. Construire une maison étant surtout une aventure humaine, c’est le savoir faire et la passion de chacun qui accompagnent le process de réalisation, car l’ histoire de la construction d’une maison est parfois longue et semée d’embuches, la passion l’emporte parfois sur la raison. En tant que photographe je m’en tiens à ma mission, tel qu’elle m’a été définie par l’entreprise DECOBOIS, à savoir raconter l’histoire des charpentiers sur l’aventure de cette maison où j’ai rencontré et côtoyé des hommes courageux et fiers de leur métier, un métier difficile et exigeant. Les remarques à la marge, s’il y en a, n’engagent que ceux qui les font. Au final, une maison chalet qui traversera le temps, des emplois de qualité et qualifiés qui font la fierté et l’honneur d’une région tout entière. L’ utilisation de matériaux bois valorisés, ce qui n’est pas rien. En ce qui me concerne, un reportage photos qui saura, je l’espère, mettre en lumière le travail de ces charpentiers.

Réalisation d'une pièce de charpente
Taille et montage d’une pièce maitresse. Une croix de St André de 2 tonnes.
Vision aérienne du projet qui nécessite 2 grues
Profession charpentier
Réunion de chantier

Joël, Joël Couchouron…

Pour moi, il est comme un grand frère, mais, il faut dire maintenant, il était. Mais un photographe ne disparaît jamais vraiment, ses photos vont traverser le temps, Joël laisse tellement de livres et de photographies derrière lui. Il est et sera le grand témoin de notre région.

Un beau texte de Vianney Huguenot

Cultivateur d’images

Souvent dépeint comme le photographe des vieux métiers et des paysans de la montagne vosgienne, Joël Couchouron s’en est allé le 17 septembre, « sur la pointe des pieds, comme pour ne pas déranger, comme il avait mené sa carrière magnifique », dit son ami, le conteur et humoriste Claude Vanony.

Dans le monde des photographes et capteurs d’images, particulièrement celui des Vosgiens, la nouvelle du départ de Joël Couchouron rappelle le fracas et le coup de tonnerre. Le départ brutal de leur pair, et un peu père, laisse un vide considérable que le temps et la beauté sincère de ses photographies tenteront de combler. En témoigne cette saisissante effusion de mots tendres, d’amis, relations et anonymes, sur la page Facebook de l’artiste. De l’artisan, plus précisément, car Joël Couchouron préférait qu’on le présente ainsi, comme un signe d’appartenance loyale à la corporation des travailleurs traditionnels et manuels. Son confrère, ami et voisin de Sapois, le photographe animalier Vincent Munier, le nommait parfois « le Curtis vosgien ». Joël Couchouron, effectivement, avec les montagnards vosgiens, posait un regard d’ethnologue, de la même manière qu’Edward Sheriff Curtis, photographe et ethnologue américain, l’avait fait avec les Amérindiens. La connexion Couchouron-Curtis établit un parallèle intéressant entre les indiens d’Amérique et les paysans des Vosges et soulève le questionnement de la disparition programmée (certes dans des conditions et contextes différents) de ces originaires et façonneurs de cultures. La relation de Joël Couchouron avec ses « sujets » (avec de gros guillemets autour de sujets) ne tenait pas seulement, ni prioritairement, de l’ethnologie, il existait simplement entre l’un et les autres une complicité, une amitié et un respect. Autre de ces amis photographes vosgiens, Michel Laurent souligne « la technique Couchouron, l’affût sans se cacher » : « Joël me racontait sa façon si particulière d’aborder ses portraits de paysans… si courtoise et bienveillante, avant que ce mot à la mode n’existe. Je le cite : « Je faisais toujours ainsi lorsque je voulais faire des photos d’un paysan. Je passais en vélo et je prenais du temps pour discuter, une première fois et sans mon appareil photo, et puis je revenais avec l’appareil, mais sans m’en servir. Et puis seulement si la personne était d’accord, je revenais une troisième fois pour réaliser mon reportage ». De tous ses reportages sont nés des amis, des copains, des complices ». Également « sous le choc », le réalisateur de films et documentaires Jacques Cuny insiste sur « l’émotion au contact de ses images et de ses textes » et l’humanité du personnage. Quant à Claude Vanony, il se souvient de ses débuts, « autodidacte, quand il parcourait la montagne vosgienne avec la simplicité qui le caractérisait, allant presque timidement chez les anciens des hauts. Il était la gentillesse même ». On aurait tort d’abréger les sentiments de Joël Couchouron en une seule nostalgie, il se montrait davantage observateur soucieux du temps qui passe (trop vite). Rien de ringard dans le regard ou l’action : il pratiquait, non sans s’émouvoir du souvenir de son vieil Instamatic, les nouvelles techniques de photographie et technologies de la communication fugitive et de la commercialisation virtuelle. Mais le temps long et la patience, malgré les bouleversements du monde, demeurèrent complices de Joël Couchouron. Une connivence silencieuse, rappelée par l’auteur et photographe alsacien Michel Friz, qui ne connaissait Joël Couchouron qu’à travers ses photos : « Un jour, j’ai découvert une de ses photos dans une ferme-auberge. Il s’agissait d’un portrait de paysan, accroché au mur de la salle à manger. Ce visage moustachu, buriné, couvert d’un feutre déformé, m’invitait du regard à m’asseoir en face de lui et à entamer la conversation ! Je crois que ce cliché symbolise assez bien la vision du monde qu’avait Joël Couchouron. On la retrouve tout au long de son œuvre. Il savait à chaque instant mettre en lumière les hommes et leur terroir en créant un lien profond, sincère et bienveillant. Un témoignage précieux qui, à défaut, d’arrêter la course du temps, avait la vertu de le ralentir ». Et souvent de le fixer en noir et blanc et le graver en lettres d’or. Vianney Huguenot

HORS TEXTE

Paysages et pays sages

Né à Sapois en 1951, Joël Couchouron reste sa vie durant dans ce village vosgien au cœur d’un triangle porteur de l’identité montagnarde des Vosges, Gérardmer-Remiremont-La Bresse. Il y était heureux, ça se lisait sur son visage quand on le rencontrait mais il y était resté en partie par contrainte : « Quand je suis revenu de l’armée, mon père n’était plus là, il a fallu que je m’occupe de la famille, j’étais le seul qui ramenait une paie à la maison. S’installer à Sapois, c’était quasi obligatoire. Mais je ne regrette rien, c’est ce qui pouvait m’arriver de mieux ». Il poursuit ainsi une enfance et une jeunesse largement consacrées au travail : « On avait des parents qui nous faisaient travailler, surtout mon père qui n’aimait pas nous voir ne rien faire. Mais en même temps, on était les enfants les plus gâtés. Il nous construisait des voitures à pédales et tous les gamins du village nous regardaient envieux. On était vraiment des enfants gâtés mais au prix de beaucoup de travail ». Le souvenir de son enfance révèle aussi, comme une image qui apparaît dans le bac fixateur, les ravages de la déshumanisation de notre société, même rurale : « Je ne connais pas aujourd’hui la moitié des gens de Sapois alors qu’avant on se connaissait tous ». La photographie, selon Joël Couchouron, représentait aussi le moyen de garder le contact, positivement, avec l’avant, à travers des gens, des gestes, des paysages, « des pays sages », disait-il. V.H.

Vianney Huguenot

Journaliste, chroniqueur, présentateur, auteur

5 rue des vignes 57950 Montigny-lès-Metz

07.88.93.66.75

vianney.huguenot@gmail.com

Les Vieilles plaques !

Belle histoire que celle des vieilles plaques de verre de Clovis Reichert.

Comme souvent, c’est par hasard que les choses et les actes se font. Clovis Reichert était photographe à Saulxures au début du siècle d’avant. Son studio était à l’extérieur et à l’arrière de sa boutique, il photographiait les gens, les familles, les soldats qui partaient au front pendant la première guerre, et ceux qui revenaient. Puis, les années et le siècle sont passés et ces plaques de verre qui étaient les négatifs de l’époque se sont endormies au grenier. Une autre guerre puis un incendie passèrent sur la vieille maison et presque 100 ans plus tard elle fut vendue. Un ami antiquaire eu la mission de débarrasser les lieux et découvrit des caisses en bois couvertes de poussière. Elles contenait 1800 plaques de verre en parfait état, tout le patrimoine photographique de Clovis Reichert. Heureusement que cet antiquaire eu la présence d’esprit de m’appeler sans quoi tout ça partait aux oubliettes et surtout, à la déchèterie. J’ai même eu la chance de vivre quelques années dans cette maison et de retrouver les vestiges de cet ancien temps. Chemin faisant et vu l’ampleur de la découverte, j’en ai fait don au archives départementale qui ce sont chargées de numériser et d’archiver en lieux sûr ce trésor.

La photo c’est la vie ! C’est ma vie…

La drone altitude !

Prendre de la hauteur !

Elle est presque loin l’ époque des sorties de photos aériennes, en Cessna porte ouvertes un pied sur le hauban et en argentique bien sur… Maintenant c’est presque facile mais ça change la vie.

Attention de ne pas en abuser, car nous sommes pas des oiseaux et le regard qu’on doit garder de nos paysage, c’est surtout à pied qu’il faut le pratiquer.

Il n’empêche que les drones ont donné un regard diffèrent et maintenant, il est presque incontournable d’avoir ce petit jouet dans son sac photo, entre une caméra vidéo et un enregistreur audio !

Le Cessna de l’aéroclub d’Epinal,
ou le tétras de chez Humbert sur le petit Aérodrome de Ramonchamp !
Machais dans les années 2000
Le Hohneck, années 2000
Le Tétras de nos jours pendant les travaux. Suivi de chantier. Groupe Livio
Domaine de Tarbouriech, Marseillan. Reportage Linvosges
Reportage à l’ ouest des Vosges pour la Chambre d’Agriculture. Moisson 2022
Un mariage…
Col d’Oderen
Le cœur de scolyte. Reportage filière bois
Les « jolis chalets » Barbey Serroux
Muriel et Sara. Communication La Haut & Spas à Ventron
Reportage forêt
Scierie Germain Mougenot
Auberge des Séglière, Grenoble
Prise de vue entreprise. Les Zelles La Bresse
Chasseuse cueilleuse

Les Milles étangs.

Verre TechniC

Focus sur une entreprise qui laisse passer la lumière, reportage !

J’ai redécouvert le verre sous toutes ses formes, épaisseur, format, transparence, couleur et mise en œuvre dans des versions que je n’ aurais pas imaginé. Au final des résultats surprenants qui donnent au produit « verre » une dimension incroyable.

Evidement le verre c’est technique, hyper compliqué même, du fait de sa fragilité et son poids. Compliqué dans sa fabrication jusque dans sa pose. Je suis revenu de ce reportage avec un regard complétement diffèrent sur la transparence de la lumière dans nos habitats et dans nos villes.

Et puis bien sur et toujours, l’humain au centre de tout. Une belle entreprise à taille… humaine !

VERRE TECHNIC – Zone Inova 3000 – allée 7 – THAON LES VOSGES – 88150 Capavenir-Vosges

Verre technique
Evidement la manipulation est plus que compliquée
Moyen technique de mise en place des châssis
Double effet de transparence et de miroir
La petite fenêtre qui fait tout !
Format mur de lumière
Verre et bois
Murs de verre
Mariage du bois et du verre. Escalier Morel
Le verre autrement

Communication Bol d’Air

Retour à Bol d’Air après l’épisode « Covid »

Séquence Bois des Lutins en version famille.

En fait, les parents viennent pour distraire les enfants, en me disant: « Oui, bon c’est pour les enfants et pis de toutes façons je ne me suis pas habillé pour faire des photos … » et en 5 mn, c’est les enfants qui regardent la parents s’amuser, c’est comme ça que je voyais la « chose »

Au final, des enfant joyeux, des mamans jolies et ravies en ce jour de fête des mères et un papa qui en redemande.

Mission accomplie, à bientôt !

Mention spéciale aujourd’hui pour la fête des mamans !
Ha, assez rare pour être souligné, un homme sur mes photos !
C’est pas que pour les gamins…

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Explor Games, version bois des Lutins

Sur fond d’Explor Games, des sourires d’enfants sous un soleil de printemps.

L’idée est de découvrir la nature, la forêt, la rivière et le patrimoine en utilisant des outils connectés. La recette fonctionne pour les petits comme pour les grands.

Et tout ça bien sur, au Bois des lutins.
A découvrir…

Le bois des lutins à La Bresse
QRcode et tablettes connectées, des outils / jouets que les enfants connaissent et utilisent naturellement
Une version plus « ados »

Germain Mougenot

Réalisation de la plaquette de communication

https://www.timbershow.com/

Toujours dans ma démarche de communiquer sur la filière bois Vosges, me voilà cette fois à domicile avec le projet de réalisation des visuels de la plaquette de la scierie Germain Mougenot.

« Du Bois et Hommes »

L’équipe est bien rodée et chacun connaît sa mission. C’est bien sûr Oliver Cordel (KARMA communication) et l’ami de la famille, parce que c’est bien d’une histoire de famille qu’il s’agit, qui s’occupe du graphisme et de la mise en page ainsi que de la connexion avec l’imprimeur. Olivier Thierry et Cindy Auer pilotent le projet en interne.

Cette entreprise me parle, évidement, c’est lâ que travaillait mon père jusqu’à sa retraite. Il était conducteur de « multiple », (une grosse scie à battant à multiple lames). Gamin je passais lui rendre visite les mercredis, à l’époque cela se faisait… La scierie fait partie du paysage à Saulxures, elle est au pied de la forêt du Gehan. Et puis ce sont les transports Claudel qui ravitaillent le parc à grumes dont Anthony en est maintenant le dirigeant. Un siècle de transport de bois…

La boucle est bouclée avec l’installation de l’usine de pellets. Une économie circulaire sur 10 ha.

Au final une belle plaquette, ou plutôt un catalogue qui sera présentée prochainement au Carrefour du Bois de Nantes.

Le Gîte de La « Retorderie »

Rencontrer, partager, respirer, vivre…

Le Gîte de la Retorderie est à vocation humaine…

Derrière cette phrase un peu « bateau » il y a une activité évidement lucrative mais surtout une vraie démarche de rencontre. Proposer à des personnes, des familles, des amis un lieux convivial et chaleureux où ils pourront se sentir immédiatement « comme chez eux » Tout simplement !

La communication visuelle est tournée dans ce sens également, l’humain au centre de tout. Photographier des histoires et les partager, parce que le bonheur est contagieux. Il y a beaucoup de femmes, d’ hommes et d’ enfants dans mes photos, ce n’est pas nouveau.

Rien n’est formaté au gîte de la Retorderie, la nature est en arrière-plan, la cuisine est bien équipée et les espaces spacieux.

Le temps qui passe et les rencontres ont créé des liens et des amitiés d’un peu partout. C’est la mission !

Le gîte côté rue
100 commentaires ?
Les belles copines et leurs hommes !
Des amis bretons, devenus des amis, bretons !
Soirée Flammekueche avec des amis Allemands et des enfants joyeux
On est pas bien là ?
Ce fut une semaine musicale…
La raclette incontournable !
Les belles Anglaises venues de Belgique
Une vraie cheminée pour de vraies soirées !
La cuisine à faire et à vivre est souvent au centre des réunions de familles ou d’amis
Les gourmandes bretonnes !
Deux anonymes, photo souvenir.
La voisine !
Ha ben oui, l’hiver !
Le partage …

Profession Maréchal Ferrant

Rare sont les métiers aussi intemporels, maréchal ferrant est de ceux là. La technique et le matériel sont les même depuis des lustres.

Personnage charismatique de la planète « cheval » Pascal est un peu l’homme qui parlait à l’oreille des chevaux, mais dans les Vosges.
Photographier le métier de maréchal ferrant est un pur bonheur. Les lumières sont toujours magique et les ambiances de vieilles écuries très cinématographique.

J’ai la chance d’être l’ami d’un orfèvre en la matière. Mi forgeron mi maréchal, il faut connaitre et dompter le métal et l’animal, c’est la vie de Pascal Barthélémy, mais pas que…

Il manque l’odeur de corne brulée si particulière.
De souvenir, cet Ardenais était énorme.
Jument Boulonnaise. Un animal magnifique
Le ferrage est un geste ancestral.
Oui ce sont bien les couilles d’un étalon ..
Ambiance du coté de St Dié.
Deux jolis culs de Boulonnaises

« iep » l’effet iep…

« iep » C’est qui c’est quoi ?

« iep », c’est les « Initiatives entre potes ».

C’est à la fois simple et très puissant, cool et très sérieux, c’est du circuit court entre les gens et les copains. Entre les « moineaux et les rainettes « , une fois que tu es dans le circuit, que tu as passé la visite médicale de la bienveillance et de l’humilité, tu peux offrir et recevoir.

Eté 2022.

Je sais pas ce que vous en pensez mais j’ai l’impression d’être dans une période de transition. Un changement d’époque, où tout s’accélère. Le climat, la mondialisation, les guerres, les pandémies, nos vies, les journées.

On descend un col dans une voiture décapotable de retour d’une chouette rando en montagne, des souvenirs plein la tête. La journée fut belle et insouciante, on a nagé dans un lac d’eau limpide et déjeuné copieusement sur l’herbe, à l’ombre d’un arbre centenaire. Le soleil couchant est magnifique, on est heureux, amoureux, les femmes sont belles et on chante, on rit, on s’embrasse et se touche. Les enfants dorment à l’arrière, il y a une chanson cool à la radio que l’on fredonne. La vie est belle. Et d’un coup dans un virage, …
Les freins lâchent et ne répondent plus. Tu appuies comme un forcené sur le frein mais rien. La vitesse d’un coup devient ingérable…

On a l’impression qu’on est en train de vivre un scénario de film catastrophe sauf que là, c’est la triste réalité. On vit une époque anxiogène que les médias relayent allégrement.

« iep », c’est les Initiatives entre potes ou le gagnant / gagnant. Le réseau…

« iep » c’est trouver des idées pour continuer d’exister, c’est passer par la fenêtre quand par la porte, ça ne passe plus.

Une histoire de Tee-shirt

Au départ, des jeux de mots. Et puis, les amis, les potes, le coté « iep ». Et pourquoi pas des tee-shirts sur lardevivre, lardéco, les seins vosgiens et les brimbelles. Chacun y va des ses compétences et on affiche sur sa poitrine son appartenance, ses goûts et ses couleurs. Aurélie et Illico Perso à La Bresse impriment et diffusent. Le ton est donné.

  • Alors, vous allez me dire ? C’est où ? C’est comment? On peut acheter ? C’est combien ?

C’est à La Bresse, boutique Illico Perso, juste en face de l’église. Vous demandez « Aurélie » mot de passe: « iep »
Un téléphone. 09 80 66 44 22 contact@illico-perso.fr

© Michel LAURENT – 06.89.25.84.66

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Le « iep » avec les fromagères…

Emilie, Florence, Lucie et Fanny
Sourir plutôt que faire la gueule ! Aurélie Illico Perso La Bresse.
Les amis, les copains, les passions… Pascal Barthélémy
Faire bouger les lignes. Vincent Munier
iep, c’est donner l’exemple. Anne Claire Goulon et Vianney Huguenot
iep, c’est la complicité et les histoires qui durent !
Muriel Mangeol alias Mlle Serge.
Communiquer avec de l’humour !
Expliquer, encore et encore ! Karine Savart et l’Expo » A qui sont ces yeux ? »
S’associer pour avancer ! Les 4 du début des Sentiers de la Photo.
Michel LAURENT , Yan GODE, Vincent MUNIER et Allain GRANDEMANGE
Trouver des solutions pour mieux consommer.
La Ferme aux hirondelles à Thiefosse.
Ne pas avoir froid aux yeux ! Les deux copines complices de mes aventures photos
Muriel MANGEOL et Sara BOUGRIT
Regarder dans la même direction l
Les deux belles jumelles. Stéphanie et Aude