…des vidéos en mode « tourné-monté » et travailler léger !
Un appareil photo plein format photo et vidéo avec une optique courte pour être proche. Un Osmo pocket 3 qui fait tout ou presque, un drone pour prendre de la hauteur, un boitier argentique pour le fun, un micro, et un enregistreur. J’ai oublié, un pied et un filtre gris neutre…
Dans ce monde de communication complètement schizophrène ou la vidéo occupe une grosse place, ça « scrolle » dans les chaumières et les images défilent parfois sans être vraiment regardées. Perso, j’ai bien déchargé mon sac…
Patrick fabrique et pose des essis. Si nécessaire cliquez sur « C » pour intégrer les sous titres…
Le dictâtes de « la communication » imposent les formats, les durées. Les « algorithmes » font le reste. On en est à pousser de la 4 G pour des vidéos qui seront regardées sur des écrans minuscules, assis sur les toilettes ou en pause au feu rouge…Un film livré en full HD 1080 x 1920 est amplement suffisant.
Suivi de chantier sur un projet de construction à La Bresse
Les réseaux sociaux tiennent le monde et peut être que les réseaux sociaux SONT le monde. On a les réseaux sociaux que l’on mérite…
Sarah répare les téléphone à Gérardmer
Dans ce cirque médiatique j’ai opté pour faire simple. Un appareil photo d’une main avec une optique courte et une petite cam embarquée avec nacelle et micro dans l’autre. Histoire de revenir avec des photos et des rushs vidéos. Tournage en lumière naturelle, pas d’artifice ni de trucage encore moins d’apport d’intelligence artificielle. Je laisse à certain une démarche cinématographique sophistiquée, je trouve que le jeu n’en vaut souvent plus la chandelle. On consomme plus de l’image que l’on en regarde vraiment. Il y a le cinéma, le vrai pour ça, ce sont deux mondes.
Les débits d’internetsont tel que l’abondance de film reçu est devenu énorme et ne permet plus d’apprécier les contenus. a tendance est à l’économie et au gain de temps, alors la mode est au digital, communiquer par l’écran est le truc actuel. Même si la démarche est incontournable l’écran et évidement les réseaux sociaux ne sont pas forcément la solution idéale. La masse d’information que nous recevons est tel que personne ne peut absorber toutes ces images, vidéos, textes. Qui plus est parfois fausses ou inventé de toutes pièces par des machines.
Heureusement des entreprises gardent les pieds sur terre et reste en même temps sur une communication analogique, classique. LE catalogue ou la version papier que l’on a sous la main, sur le coin du bureau, dans une sacoche, c’est objet tactile, réalisé par des humains à la d’un bout à l’autre de la chaine graphique, il a été rêvé, pensé, créé, imprimé et distribué. Il complète ou est complété par une démarche digitale. Il est la source, l’outil, la bible annuelle de l’entreprise sur qui tout un chacun peu s’appuyer, c’est même un bel objet que l’on garde. En compagnie de Sophie Vartel, et d’un graphiste, je collabore d’années en années en tant que photographe à la création du catalogue annuel de chez Linvosges Hôtellerie à Gérardmer. Je pense même et j’en suis persuadé que cette solution de communiquer est tout à fait « moderne », adapté à la mission d’une entreprise. La communication digitale bien qu’incontournable reste fugace et superficielle comme un nuage sur bien des domaines car nos cerveaux sont incapables de retenir ce flot incessant d’information.La version papier est donc nécessaire, essentielle.
Le marché de producteurs de Thiéfosse, le rassemblement du bon …
Si parfois il est nécessaire de travailler le sujet, on peut y ajouter du temps et des moyens comme par l’utilisation d’ un drone par exemple, tout en restant simple. L’idée est de proposer des images et des formats sans contrainte. La technique du tourné/monté permet de gagner du temps au montage et de proposer des vidéos abordables. Une écriture ou au moins une réflexion en amont sont nécessaires. Pas de durée définie surtout pas, et si la vidéo doit durer 10 mn et bien soit…