A chacun ses Maîtres. S’inspirer un peu, mais ne jamais copier !

Nous autres, photographes, on est tous sous influence, et puis on fait son chemin. Je pense qu’il faut s’inspirer, regarder et sentir pour se dire: C’est ça que j’aime… ou pas ! Mais ne jamais copier

A mes débuts c’est CAPA, Robert Friedman qui m’inspirait, ses photos de guerres étaient tellement inspirantes, au plus prêt de l’action. Il m’en est resté le choix des optiques courtes, le 28 mm. Puis Henry Cartier Bresson pour le coté « humaniste » de ces clichés. Vient alors Jeanloup Sieff le noir et blanc et ses fesses sublimes de femmes mais pas que. Piter Lindberg évidement et la sobriété de ses portraits. Un zest de Helmutt Newton… Et bien sur les femmes photographes qui peuvent tout se permettre, elles … Annie leibovitz, Dorothea Lange …

Robert Friedmann. Capa
Marc RIBOUD
Henry Cartier Bresson
Willy Ronis
Helmutt Newton
Dorothea LANGE

Peter Lindbergh
Jim BRANDENBOURG
SALGADO

Julius Natterer

Préparation de l’exposition en hommage à,
Julius Karl Manfred Natterer qui sera présentée au prochain Forum Bois Construction (FBC) Épinal et Nancy – 6 au 8 avril 2022

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Finalisation des chevalets. Circuit ultra court. Bois scolytés, sciés à la scierie local, les Ets Germain Mougenot à Saulxures. Et, retour au source pour essais de présentation de l’exposition à venir, dans une parcelle qui vient d’être récoltée. Tout cela est tout à fait symbolique mais il nous montre qu’il n’est pas nécessaire à un arbre de faire le tour de la terre pour fabriquer des chevalets… J’ai le souvenir d’avoir photographié un conducteur routier qui chargeait son millième container, direction Les Usa. Au retour, le bateau revenait chargé de bois « made in Canada ».

C’est l’économie circulaire, autour de la terre ! Génial !

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Un article sur séquences Bois Magazine.

Premières sorties d’imprimante à La Bresse avec Aurélie Mougel, co-gérante de l’entreprise Illico Perso, elle se chargera des tirages et collage sur les supports Dibon. Nous travaillons ensemble depuis longtemps et l’entreprise s’est spécialisée entre autres sur les tirages d’expo.

Le choix a été fait de conserver un coté « vintage » au tirage et de traiter les numérisations des diapos en ce sens. Les premiers essais à demi-format sont concluants. Une affaire à suivre.

© Julius Natterer

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L’ exposition est à l’initiative de Yasmina Sandoz, porteuse du projet et en collaboration avec Johannes Natterer propriétaire du fond photo et des maquettes réalisées par son pére J. Natterer.

J’interviens comme disons… « Couteau suisse »

Le travail de sélection et de reproduction des diapositives est terminé.
Quelques pépites, comme cette maison du 19 ème siècle de 6 étages réalisée en bois et toujours debout du coté du Valais… © J. Natterer. Rien de nouveau sous le soleil sur les constructions sur plusieurs étages et … en bois !
Johannes nous explique en long et en large les différentes missions de son père.

La suite des préparations de l’exposition passera par Rambervillers et l’entreprise EGGER qui fournira les supports / plaques et Germain Mougenot à Saulxures pour les tasseaux des chevalets. Merci également à l’Enstib à Epinal.

EGGER, Rambervillers
Germain Mougenot à Saulxures

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Immersion et reportage à Lausanne dans le monde « Natterer »,

le lac Léman et les Alpes en arrière plan.

Retour avec plaisir au bord du Léman, cette petite mer intérieur donne le ton et le climat à cette région si particulière.
Yasmina Sandoz, à l’origine et complice du projet a comme moi, les yeux qui brillent.

Johannes Natterer nous fait découvrir avec passion l’immense patrimoine de connaissance et de création de son père, Julius Natterer.
Projecteur « Kodak Carousel » pour ceux qui s’en souviennent !
Des milliers de diapositives, classées et archivées. Du bois bien sur, des structures bois. Des diapos mais pas que. Des maquettes, des documents, des livres en plusieurs langues et des revues.
Johannes Natterer, Yasmina Sandoz. Mars 2022.
L’Ekta pour les intimes. L’outil de communication visuelle de l’époque.
Julius Natterer le maitre des passerelles en bois, mais pas que !
Passage par la célèbre institution, l’EPFL à Lausanne.
Amphithéâtre extérieur, au loin le Lac et plus loin encore, les Alpes.

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https://www.forum-boisconstruction.com/

Julius Karl Manfred Natterer, né le 5 décembre 1938 à Neukirchen-Haggn et mort le 25 octobre 2021, est un ingénieur allemand, professeur de construction en bois à l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Il est aujourd’hui considéré comme l’une des personnalités les plus importantes dans le domaine de la construction en bois.

Véritable humaniste, fils de forestier défenseur invétéré des forêts, il n’avait de cesse de répéter que « seule l’utilisation accrue du bois dans les constructions serait en mesure de sauver les forêts du monde ». Il faut comprendre que si l’homme a besoin de bois, alors il saura prendre soin des forêts, sans oublier que c’est pendant la croissance des arbres que l’oxygène est expulsé pour stocker le CO2, photosynthèse qui permet la vie, notre vie, sur la planète Terre ! Génial, visionnaire, hors-norme, éclairé… Il aura passé sa vie à innover, à chercher des solutions, pour inventer chaque projet différent du précédent, à les transmettre pour le bien de tous, déjà dans le souci, au début des années 80, de sauver notre planète. Spécialiste de grandes structures comme le toit parapluie de l’exposition de Hanovre (2000), ou le Zénith de Limoges (2007), concepteur de structures géodésiques comme celle du Polydôme de l’EPFL (1991), l’inventeur du « Brettstapel », des bois cloués, sans colle, comme la Tour de Sauvabelin de Lausanne (2003), Julius rappelait toujours qu’il faut économiser la matière et l’énergie : « Urgence climatique, neutralité carbone », alertait-il déjà au siècle dernier, bien avant le Sommet de la Terre de Rio, en 1992. La Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, les USA, le Canada, Taiwan ou encore le Japon, à travers ses padawans, lui ont rendu des hommages dignes du grand Professeur qu’il était. En France, ce sera à l’occasion du Forum International Bois Construction des 6, 7 et 8 avril 2022 à Epinal/ Nancy, que l’âme du Professeur Julius Natterer sera honorée à travers de très nombreux sujets, tous très actuels. Nous poursuivrons dans sa lignée avec le respect de l’héritage du Maître.

Numérisation de diapositives et traitement.

Le bois avance, la forêt brule

Et si on se montait une expo ?

Une affaire à suivre !

Le compagnon charpentier est mort

J’ai appris ce matin que Claude Weisrock venait de décéder. Le Vieux compagnon charpentier est mort. Je l’avais rencontré l’année dernière pour le projet du Peuple du Bois, il m’avait reçu dans son bureau sous les combles. On avait discuté bois et charpente, forêt et hommes du métier à l’ombre de la statue de St Joseph. Tout le monde connait dans le monde du bois l’histoire Weisrock et de ses charpentes en lamellés collées. Passionné du bois, de l’image et des gens humbles il m’a laissé un bien trop court souvenir.

Je trouve toujours prétentieux les portraits devant des murs de livres, mais là, sa bibliothèque était chargé de dossiers…

« Je n’ai pas le temps de lire » m’avait t’il dit , Claude vous avez l’éternité pour ça maintenant… »

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Expliquez moi ?

C’est quoi le problème avec la nature ?

Ce matin en 15 mn j’ai réalisé quelques photos sur 2 endroits et sur quelques m². La première parcelle n’a pas été tondu, elle est sauvage et d’ici quelques semaines un cheval viendra y passer l’ été tranquillement. Pour l’heure une chevrette passe tôt le matin.

Le deuxième est systématiquement tondu tout les 5/7 jours. Les photos ont été faites à la même échelle… Le résultat est sans appel, la parcelle tondue est morte de toutes vies, aucun animal, 2/3 plantes et aucune humidité.

La parcelle sauvage et gorgée de fleurs, de plantes et d’insectes, d’abeilles, de sauterelles que les oiseaux récoltent pour nourrir les couvées. La rosée du matin a trempé mes chaussures.

Je ne fais pas le procès des tondeuses, je constate juste … Mais si cela n’est pas nécessaire arrêtez de tondre, allongez vous dans l’herbe et écoutez les oiseaux !

Pelouse rabougrie.
Prairie natuelle.
2 / 3 sortes de plantes…

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En fouillant dans ma mémoire j’ai retrouvé ce texte, pur fruit de l’imagination de Jean Giono et pourtant tellement vrai… A relire ou écouter. Sans doute pour moi un sujet d’inspiration car c’est bien de dire qu’il faut planter des arbres mais c’est mieux encore de le faire.

J’ai toujours planter des arbres et aimé le faire. Toutes les essences sont belles, mais certaines le sont plus que d’autres.

Ma préférence va vers le mélèze.

J’ai planté ce mélèze il y a 30 ans pour la naissance de ma fille.

L’Homme qui plantait des arbres est une nouvelle écrite en 1953 par l’écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes
Au moins que ce livre qui sort aujourd’hui vous invite à planter vous aussi, des arbres…

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Un texte Jean-Luc Sandoz en préface du livre

« Le Peuple du Bois  » Editions du Signe


Jean-Luc SANDOZ Ph.D Président du Groupe CBS-Lifteam
© Noëlla Barras
Le Peuple du Bois, sortie début Mai en librairies
Des mots simples, une pointe d’humour, et un discours cash sur la situation de la planète et surtout de la foret.
Si t’as pas compris c’est que tu dormais…

Jean-Luc Sandoz, militant et visionnaire. J’aime son décalage, son coté « cash » par rapport à beaucoup de discours trop politiquement corrects que l’on nous donne à entendre et à lire.
©Michel Laurent

En préface:

Les forêts sont indispensables à la vie sur terre ! Avec la biomasse marine, elles sont les seules sources d’oxygène, surtout pendant leur phase de croissance. Dans le cycle du carbone, la forêt capte du CO2 et produit de la matière lignocellulosique et de l’oxygène.

Plus d’un tiers des terres émergées de la planète sont couvertes de forêts. Elles sont une partie vitale de notre écosystème global. Les forêts protègent l’environnement naturel. Tous les ans, elles absorbent de cinq à six milliards de tonnes de dioxyde de carbone, soit environ 15% du CO2 global émis par la combustion de carburants fossiles et autres filières carbonées.

Les forêts protègent aussi les reliefs montagneux de l’érosion et les terres intérieures des inondations. Elles sont l’habitat de 80% des espèces animales et végétales de la planète, avec la plus forte concentration dans les forêts tropicales primaires, comme celles des bassins de l’Amazonie en Amérique du Sud ou du bassin du Congo en Afrique.  

Aujourd’hui plus que jamais, avec l’accroissement démographique d’une part, et l’augmentation des gaz à effet de serre d’autre part, les forêts du monde sont une clé essentielle et prioritaire pour développer la société à zéro carbone, c’est-à-dire sans production endogène de CO2, à l’horizon 2050. Cet enjeu crucial, qui arrive très tardivement, permettra de limiter le réchauffement climatique à 2° C, d’ici 2100.

Pour cet objectif de société décarbonée, le bois est un matériau providentiel qui permet de répondre à de nombreux besoins de notre espèce. Encore faut-il en prendre conscience et protéger les forêts, tout en préservant l’ensemble des rôles qui lui sont attribués. La gestion des forêts va de pair avec leur entretien qui permet à la fois la production de matière première et la régénération forestière.

Avec une production de 40 milliards de tonnes de CO2 par an sur la planète, soit cinq tonnes par habitant en moyenne, la forêt est la solution pour fixer ce CO2, mais elle en est aussi la victime. Les records de chaleur battus par presque toutes les années de la décennie 2010-2020, déclenchent de plus en plus de catastrophes écologiques.

En Europe, ce sont les scolytes qui envahissent les forêts les plus fragiles, particulièrement les forêts qui ont été plantées en monoculture d’épicéa à trop basse altitude. Les sécheresse et canicules à répétition affaiblissent les arbres qui n’arrivent plus à repousser les attaques des insectes xylophages. La canicule de Vancouver en 2020, avec des températures à 50°C, est l’exemple le plus récent de l’inadaptation des forêts de résineux de l’hémisphère Nord pour faire face au réchauffement.

Dans les zones tropicales, ce sont les incendies naturels déclenchés par la foudre, pendant les orages en fin de période sèche, qui génèrent des déboisements de millions d’hectares, tout en relâchant des millions de tonnes de CO2 emprisonnées dans les arbres brulés.

Aujourd’hui, avec la démographie galopante, les peuples ont tendance à se rassembler en zone urbaine et les notions de densification et de construction bois, incluant des matériaux biosourcés, permettent de répondre aux enjeux essentiels de durabilité, d’urgence climatique et de neutralité carbone dans les villes. La plantation d’arbres en ville permet de la rendre plus végétale, plus écologique et génère des ilots de fraicheur, grâce notamment à l’évapotranspiration des arbres, qui produisent aussi de l’eau puisée dans le sol par les racines.

Un vrai développement durable réside dans la doctrine « plus d’ingénierie, moins de matière ». Optimiser le besoin de matière, la sourcer le plus localement possible, dans une optique d’économie et d’écologie, prend son origine dans la prise de conscience forte de la finitude des ressources sur la planète Terre.

Privilégier les systèmes constructifs en bois, plutôt en bois locaux, plutôt sans colle, plutôt calculés juste, c’est-à-dire optimisés en fonction des cahiers des charges des bâtiments, permet d’économiser la matière pour ne pas la gaspiller, même s’il s’agit d’un matériau biosourcé et renouvelable.

« Seule l’utilisation du bois dans la construction peut sauver les forêts du monde » disait feu le professeur Julius Natterer.

On se doit d’insister sur la frugalité heureuse et créative, à partir de ce que la nature peut nous donner. La valeur ajoutée apportée tout au long de la chaîne de valeur de la filière bois, de l’amont à l’aval, permet de garantir des emplois et génèrent des contributions sociales couplées à ces emplois. Ce retour socio-économique finance la vie ensemble, tout en garantissant l’éducation et la santé au plus grand nombre de nos citoyens.

Pour réussir ce challenge, il faut des femmes et des hommes passionnés. Celles et ceux qui travaillent pour entretenir nos forêts, pour répondre à nos besoins, pour faire en sorte qu’un futur soit possible. Merci à Pascal, Catherine et Michel de nous donner le loisir de les découvrir et de partager leurs quotidiens. Ils donnent aussi la parole à celles et ceux pour qui la forêt est avant tout un territoire de vie, de loisir, de ressourcement et d’émerveillement.

Il n’y a pas de dogmatismes dans cet ouvrage, il n’y a que de la passion partagée.

Jean-Luc SANDOZ Ph.D Président du Groupe CBS-Lifteam

Ingénieur Enstib (promo 83)

Une photo emblématique et actuelle. Un cœur de forêt d’épicéas scolytés dans les Vosges

Et pour allé encore plus loin sur le débat.

La vidéo de la conférence.

Conférence lors du dernier FBC de Nancy Avril 2022.
Malheureusement son intervention est passé un peu tard.
Elle aurait du lancer le forum et donner le ton.
Une fresque de 1992 réalisée par Olivier Claudon, un autre visionnaire…
La forêt est notre mère … Une autre photo emblématique du livre.
Une chasseuse cueilleuse revue et corrigée.
©Michel Laurent

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Claire, la coureuse des bois.

Claire Mougel est Haute Vosgienne, skieuse de fond et surtout coureuse de montagne et des bois, traileuse est le bon terme, elle est aussi institutrice et maman. Courir au milieu des sapins c’est idéal pour l’entrainement, sans aucun doute quand on connait son palmarès.

Je n’ai pas et je n’aurai jamais sa foulée, mais j’aime aussi traverser les forêts, toucher l’écorce des sapins et regarder le ciel entre les branches. Les arbres peuvent vivre des centaines d’années en compagnie d’autres arbres sans jamais se détester, juste se frôler quand il y a du vent. Nous autres les humains on en est bien incapables, moi le premier, je l’avoue. Sous les sapins il y a Claire qui court mais pas que… C’est tout un peuple qui vit sa vie sous les branches et dans les branches, sur le sol et sous la terre.

Il faut toucher l’écorce à moins que ce soit l’écorce qui nous touche.
Un beau souvenir de photographe.
Elle aime à dire  » J’aime entendre et sentir mon cœur battre »
En librairie début mai 2022

Sous le col de Morbieux. Forêt du Géhan. Saulxures
Les couleurs du printemps. Nuances de vert
Les Vosges forestières
Le Peuple du bois « Editions du Signe »
Une chasseuse cueilleuse, rencontre rare au fond des bois et de mon imagination …


© Article de Jonas Tophoven

Le 11e Forum Bois Construction, du 6 au 8 avril 2022 à Epinal et Nancy, a innové avec de multiples expositions et dédicaces de livres relatifs à son sujet. Michel Laurent a été le photographe et maître d’oeuvre de l’exposition Natterer, Mais il est aussi le grand illustrateur du nouveau livre des éditions du Signe, à la mémoire de Julius Natterer, notamment, préfacé par son disciple Jean-Luc Sandoz. Avec ses quatre expositions, le forum n’aurait pas suffi à faire la part belle aux images et illustrations de ce livre (illustration : Olivier Claudon), qui attendent un cadre adéquat pour lequel le livre serait le catalogue. Notamment à Paris.

Sans doute qu’il faut regarder ce livre comme le catalogue d’une expo qui n’aura pas lieu, parce que le peuple parisien n’est pas prêt à reconnaître le peuple français du bois. Le chêne est un film documentaire réalisé au sujet des animaux qui y vivent, de longues années de travail hightech et une louche de plus pour le culte urbain des arbres. Par contre, les humains qui vivent du bois sont méconnus et sujets à la vindicte. Le charançon est plus sympathique.

Dans cette exposition virtuelle, deux enfants, Sacha et Lisa, suivis de près par l’auteure Catherine Claude, font une sorte de parcours initiatique un peu comme chez les arborigènes. Ils découvrent un monde, tout comme le lecteur, monde d’images mais aussi de pensées et d’action. Et de passion. Alors, on a beau avoir cette première impression d’un ouvrage de plus consacré à la beauté des arbres, en fait, la démarche est tout à fait nouvelle et originale. Car ce n’est pas un regard corporatiste, plutôt la synthèse de l’émerveillement professionnel de son grand acteur Pascal Triboulot. Ce n’est pas un manuel ou une doctrine mais un parcours de rencontres humaines qui sont creusées dans toute leur spécificité. L’intérêt particulier du livre est qu’en adoptant cette position de parcours initiatique de jeunes, les rencontres sont fortes. Ainsi, Fabienne Tisserand, rédactrice en chef de La forêt privée, a le loisir de révéler sa pensée sur la forêt, à l’image de l’un de ses livres, et ce regard est clairement le sien.

On retrouve au fil des pages des personnes plus ou moins connues de la filière, Denis Dagneaux de l’ONF, Alain Jacquet, Pascal Triboulot bien sûr, Paul Siat, Aude Barlier, Chaude Weisrock, Claude Valentin, Antoine Pagnoux, Bertrand Burger, Meriem Forunier, François Cuny, et la post-face est de Dominique Gauzin-Müller. C’est sûr qu’on n’est pas dans les Landes. C’est un arrêt sur image à un temps T d’une filière, non considérée sous l’angle de la langue de bois institutionnelle ou de la comm’.

Olivier Pichot a régalé les congressistes du 11e Forum Bois Construction, Pascal Triboulot, Claude Valentin, Antoine Pagnoux, Meriem Forunier et Dominique Gauzin-Müller, mais aussi Marie-Christine Trouy, In’Bô, Jean-Luc Sandoz… Normal que l’ouvrage était en dédicace sur le Forum.

L’ouvrage est le meilleur complément aux assises régionales de la forêt et du bois de Remiremont en 2021. Et c’est le support parfait pour développer l’attractivité des Vosges. C’est amusant de voir illustrée les coupes rases, les conteneurs remplis de grumes en forêt, à côté des images naturelles. C’est le sens du livre, ne pas tomber dans le travers des images d’Epinal, révéler en quoi le peuple de la forêt est aussi fascinant que la forêt elle-même. 

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La nature et la Filière bois dans les Vosges, des Femmes et des Hommes. Et si le mot clé était « BIODIVERSITE »

Je ne suis qu’un piètre observateur mais de nouveau les temps sont troublés, à peine sorti de la covid 19, on plonge dans une guerre, une de plus mais cette fois en Europe et les morts nous ressemble, ils ont la même couleur de peau ! Ils ont le type Caucasien. Et à suivre bien sûr les flots de peuples déplacés, les femmes et les enfants en pleur et perdus. Les hommes au combat. Les morts dans les rues, des morts pour rien. C’est insoutenable et désespèrent. Pour qui pour quoi… On sait bien pourquoi…

Et la grande oubliée dans l’histoire, c’est toujours la même, inexistante ou presque dans les programmes des candidats aux élections prochaines, la nature et l’écologie évidement. C’est la seule et unique guerre qu’il faut mener, la guerre contre le réchauffement climatique et contre la destruction de la biodiversité. Si toute les énergies et l’ argent dépensé dans les guerres et autres luttes de pouvoir étaient injectés dans la sauvegarde de la nature, la terre serait un paradis. L’humain est coupable sur toute la ligne, on est tous coupables, vous moi. Mais il faut garder espoir et travailler, regarder, penser, et voter uniquement dans cette direction. Sinon c’est perdu…

Un cœur de forêt scolytée. Un « élevage » d’épicéa en monoculture ou rien d’autre ne poussait. Ce système de plantation mise en place dans les années 60 / 70 a dessiné nos forêts. Les plantations en rangs d’oignons tel des champs de maïs on dessinées nos paysages, acidifiant les sols et les rivières par manque de biodiversité. Le résultats était prévisible, les forêt ou les essences d’arbres sont multiples le scolyte a moins fait de dégâts. C’est un mal pour un bien, à condition de ne pas refaire les mêmes erreurs. Et ça c’est moins sur. Les décisions sont souvent prises par des politiques et des technocrates qui n’ont pas une vision « nature » de la forêt mais plutôt une vision « produit ».
L’eau au centre de tout.
Un brocard, une forêt.

Focus sur un homme témoin de notre époque…

David ATTENBOROUGH

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David ATTENBOROUGH

Chez nous dans les Vosges.

Une forêt au lendemain d’une coupe de bois à blanc d’épicéas en monoculture. Aucune intervention humaine. Les bouleux sont les premiers arrivés, puis les saules et les aulnes. En quelques années 4/5. La nature est partout. Les oiseaux, les fleurs, les insectes, les batraciens dans les ornières des tracteurs qui se sont remplies d’eau et bien sur les grands animaux, les renards et les souris. Aujourd’hui des petits chênes, des érables pointent leurs nez. Il faut juste du temps.
  • Réflexions autour de notre « mère » à tous, la forêt.
  • La frugalité.
  • Interpeler, réfléchir, agir, crier, hurler… Oui le bois avance, mais la forêt brule.
  • La forêt est notre mère à tous.
  • Il faut adapter la scierie à la forêt et non l’inverse.
  • Une civilisation qui laisse bruler sa forêt et une civilisation perdue…
  • Le discours peut paraitre pessimiste, dramatique même, mais il se veut avant tout, interpelant.

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Fruit de mon imagination, c’est ainsi que j’imagine une « chasseuse , cueilleuse ». Combative, déterminée, libre et sauvage, elle devait sans doute déjà luter pour sa survie et donner la vie.

Le Cri silencieux !


D’où vient on ? Quelles sont nos origines ? Du ventre d’une femme évidement, et de la forêt sans aucun doute…
La tourbière de Machais, c’est là souvent que tout à commencer.

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Une vieille forêt du coté de Gerardmer.
Habitant à plein temps. Le chevreuil
Le cerf en période de brame
L’écureuil, évidement
Cônes d’épicéa

De sa naissance à sa mort, l’arbre traversera parfois les siècles. Ses graines sont minuscules mais à l’âge adulte, il pèsera des tonnes et sèmera à son tour, aux vents, des milliers d’autres graines dont seulement quelques unes seulement, donneront un autre arbre.

Graines d’épicéa
Une forêt « biodiversifiée ». Hêtres, sapins, érables, mélèzes …
Un chêne tricentenaire du coté de Monthureux.
Sur la route du Grand Ventron. Vosges du Sud Est
En version couverture. Contribution au livre « Le Peuple du Bois »
à sortir avril 2022. Les Editions de Signe
Les Vosges du Nord, plus sauvages
Françoise et Michel, les gardiens du temple.
Groupe GTV. Groupe tétras Vosges
Nouvelle recrue sur le groupe GTV. Alicia Charennat.
© Michel MUNIER. Un grand tétras, presque disparu malheureusement sur le massif des Vosges
La coureuse des bois. La forêt est un formidable terrain d’entrainement et une source d’oxygène.
Chouette de Tengmalm
Les Eaux et Forêts
Garde forestière du coté de Monthureux. Forêt de chênes.
Le martelage, sélection des arbres
Le marteau de martelage
Action de martelage par une étudiante.
Connaissance du terrain et de sa biodiversité.
La récolte, le mot est plus beau que « abattre »
La pause casse croute dans un chalet forestier.
 » Il faut adapter la scierie à la forêt et non l’inverse »
L’abatage ou récolte. Ici un pin Weymouth
Le débardage à traction animal, pratiqué sur les terrains fragiles.
Profession débusqueur, le débardage.
Débardeur reste un métier hors normes, pénible et dangereux.
La pause clope.
Les conditions de travail sont souvent compliquées.
Une autre façon de récolter. L’ abatteuse.
Réunion improvisée entre un conducteur d’abatteuse et un agent de l’ONF
Chargeur forestier.
La chasse, sujet clivant. Que faut il faire ?
Réintroduire les grands prédateurs. Stopper l’égrainage des forêts avec des tonnes de maïs. Organiser une chasse intelligente…
La population de sanglier a considérablement depuis quelques années du fait de l’absence de prédateur naturel, du réchauffement climatique et surtout de l’égrainage massif pratiqué par certain chasseurs.


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L’épisode scolyte, des suites de plusieurs années de sécheresse, mais également du résultat de plantations en monoculture réalisées il y a 50 /60 ans.

Parcelle d’épicéas scolytés.
Voir mourir un arbre n’est jamais un spectacle agréable.

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Profession grumier. Dernière étape de la partie forestière du bois et des grumes.

Le conducteur grumier.
Récolter une par une chaque grumes
770 chevaux, 8 cylindres, 22 pneus
Arrivée et déchargement à la scierie.
Scierie et usine de fabrication de pellets. Scierie Germain Mougenot à Saulxures.
Utilisation des sciures et copeaux pour fabriquer les pellets, dont es qualités environnementales restent à prouver. Ce n’est pas parce que c’est à la mode que c’est bon. Comme souvent, c’est dans quelques années que l’on connaitra les vertus ou les méfaits des pellets.

Fin de l’histoire et début d’une autre, la scierie. L’arbre devient produit et son destin est alors multiple.
Il peut devenir palette et voyager tout autour de la terre, charpente et dormir des dizaines d’années dans un grenier. Violon et offrir de la musique, cercueil, coffrage, meuble, bateau, maison et chalet, pate à papier…

ou simplement combustible.
La scierie SIAT à URMAT, c’est la plus grosse scierie du grand Est.
Scierie Mathieu à Xonrupt, spécialisée dans les gros bois.

Achat bois sur le terrain avec le groupe EGGER
Egger est au centre l’ économie circulaire

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Le bois devient objet et commence sa nouvelle vie, servir les Hommes.

Les escaliers Morel. La Bresse.
Le produit fini mélangé et marié à d’autres matières.
Il est question de savoir faire.
L’architecture avec le bois comme ADN
L’esprit cabane, en bois…
Le bois loisir
Le bois construction
Ecole de Lutherie de Mirecourt, le bois musical
Mobilier du coté de Neufchateau
Le bois sculpté
Le bois tourné.
Et l’histoire continue …

Histoires de femmes

Etre témoin ou être convié à photographier ces instants de la vie des femmes est un privilège. J’avoue que l’exercice est toujours difficile parce que tout est dans la nuance. Comme souvent je recherche la simplicité autant dans l’éclairage que dans l’attitude, pour être au plus près de la vraie vie. Faire des enfants est ce qu’il y a de plus naturel et pourtant … Ceux qui me connaissent savent combien le sujet m’est compliqué… Mais il est passionnant, et comme toujours j’aime explorer et photographier la vie.

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« Je suis enceinte » Amélie Margaux et Sam, dans la vraie vie, dans leur vie. Raconter l’ histoire d’une fin de journée presque ordinaire.

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Séance photo à la maison et à la carte. « Je suis enceinte » avec Stéphanie Gwen. et Charles dans les rôles principaux. On a bien rigolé !

La vraie vie
Pragmatique et efficace
Facom et Guzzi
Fin prêt, à bientôt !

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En mode reportage, à la maison…

Elodie, juste éclairée par une petite fenêtre
Marine au fond des bois…
L’émotion des frangines
Claire et
Karine, retour aux sources
Zoè l’expressive

Histoires de Femmes Portrait de…

« Pas ou plus de portrait posé, je photographie les expressions naturelles de la vie, dans la vraie vie de tous les jours. Sur cet article, des histoires de femmes derrière chaque photos et surtout, de belles rencontres. Lumière naturelle, optique courte, pour être au plus près, pour écouter et comprendre. J’ai depuis longtemps banni les éclairages artificiels. Nous autres les humains, nous avons tous le seul et même soleil. Il faut trouver son style, oui, s’inspirer peut être , mais ne jamais copier »

Naturellement nature, retour aux sources.
Un homme, incontournable mais abstrait pour le coup. Marine s’épanouit…
Elodie, presque toujours la même…
Elodie, déjà !
Moment fort de la vie d’une femme et l’enfant. Claire, fille de Sabine … Parcours de femmes
Deux des femmes de ma vie ! La folle jeunesse. Insouciance.
Faire se rencontrer les gens, faire naitre des histoires pour se souvenir.
Mumu, ma complice photo depuis des années avec qui tout est possible
Deux copines gourmandes au fond des bois. Sortir des chemins.
Copines à la ville, l’ élégance. Shopping.
La première photo du matin sans artifice. Cocoon.
Photographier au plus près, toujours. Presque toucher.
Professeur à la montagne, sortir des clichés. inventer des histoires. Avec Sara c’est possible.
l’ amie Aude et son sourire. Lumière naturelle, juste trouver et poser un reflet dans ses yeux.
La magie des sœurs jumelles.
Se faire discret mais être complètement présent.
Femme et maman, avancer regarder devant. Les mains, toujours les mains.
Engagement. L’actualité…
Trois regards différents. La même cause. Histoire de femmes
Claire la coureuse des bois. Femme, mère, professeur des écoles et sportive de ht niveau.
Le club des 4. Arrêter le temps sur une histoire.
Fanny agricultrice et fromagère dans sa montagne
Lucie et ses brebis dans la vraie vie sans artifice.
Emilie, la bienveillante, ce mots si souvent galvaudé.
Emilie de l’autre coté de la montagne juste éclairée par le reflet de ses fromages.
Discrète et actuelle. Flo.
Charlotte l’extraterrestre venu de la nuit des temps. Le cri silencieux. Interpeller.
La chasseuse cueilleuse. La forêt notre mère.
Lorraine la Cheffe dans sa mission n’est jamais seule…
Lorraine et ses œuvres éphémères.
Anne Claire dans le BTP, elle nous montre le chemin. Croiser son regard et avancer
Parfois un œil suffit. Sophie.
Lolita veux être luthière.
Le beau geste d’une inconnue.
Christine, lumineuse, toujours à l’écoute. Lumière naturelle, toujours et encore.
Magali, solaire. Tout est dit.
Laurence sur son ile refuge, son jardin .
Une belle inconnue dans son jardin…

ACTU. Quoi de 9 sur le Blog !

Reportages au jour le jour…

# Saison 1

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Reportage « Escaliers Morel »

Un magnifique escalier Morel à La Bresse et pour l’occasion focus sur les entreprises locales qui on participé au projet de cette belle maison.

Y a du talent dans le coin !

Structure et charpente DECOBOIS, Claudel sanitaire, Régis Pierrel électricité, Steve Mathieu Métal, cuisine Ag3c Virginia, « Pierre idées » Alain et Jonathan Pierrel, Big Mat Thierry Savart, Vincent Munier décoration visuelle, CVI, Denis Mougel paysagiste…

Maison ultra lumineuse, mettant notamment en valeur les bois et les escaliers.
Frêne olivier. Métal, bois et verre.
L’escalier n’est plus un meuble ou un objet pour changer d’étage, mais un élément essentiel.
Perspective sur deux niveaux

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Clin d’œil et bonne table.

Incontournable à Saulxures, la Pizzeria du Château ! Des pizzas mais pas que … De la vraie cuisine avant tout.

Linda, jolie, souriante et bienveillante vous accueil et Franck qu’on ne présente plus n’est jamais bien loin pour une blague ou une idée gourmande. C’est de pizzas qu’il s’agit pour ce petit reportage, mais vous devriez jeter un œil à la carte … Vous l’avez compris, j’aime cet endroit, et j’aime les personnages, Il en faut peu pour être heureux, disait l’ours ! En fait, il faut des choses simples, des bons produits et des belles personnes pour les faire danser et les mettre en musique… A bientôt !

https://www.pizzeria-du-chateau-88.fr/

La dolce vita à Saulxures
Et bien dansez maintenant !
Lard et munster…
Ou végétarienne pour se donner bonne conscience !
On est pas bien là ?
A bientôt !

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Les belles rencontres.

A la « marge » du reportage à La Bresse Hohneck, quelques vues revisitées de la belle Charlène et son petit. Toute la tendresse d’une mère en toute simplicité. Lumière naturelle et une optique courte pour être au plus près, toujours.

La photo c’est la vie, c’est ma vie !

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La Bresse Hohneck, épisode 2

Idem à l’épisode 1, version printemps. 
Immersion sur la planète de « la Bresse Hohneck « avec Charlène et son petit. Les appartements des grandes Feignes, le restaurant du Slalom, la montagne et la nature … Les Vosges

Salut Charlène !
Les premiers goutés en terrasse.
Chamois au bout du chemin

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Communication visuelle Du Pain au Lard La Bresse.

Rendez vous incontournable du « Bien Manger », Du Pain au Lard à La Bresse. Dans cette Maison on ne bricole pas avec la qualité. Tout est vrai, copieux, fabriqué maison, que du bon et du pas loin! Une équipe au top. Vous l’avez compris, je suis fan…

Du Pain, du Lard, mais pas que !

La mission du matin était de nourrir le nouveau site internet.

https://www.du-pain-au-lard.fr/

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Stéphanie et ses hommes.

Petit florilège d’un après midi sous le soleil du printemps. Regarder, puis photographier une femme enceinte est, et doit être un moment intime et particulier. Je choisi toujours la simplicité dans la lumière et les cadrages, être au plus prêt de la vraie vie, et de raconter en images, une histoire qui leur ressemble. J’ai l’impression alors, d’arrêter le temps sur des instants de transition, parce que demain, leurs vies et leur monde sera un autre monde.

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Du coté de Monthureux sur Saône.

Mission esca/beau du coté de Monthureux-sur-Saône et de
« Merrain International ». Un village sympathique au milieu de forêts de chênes et au bord de la Saône. La rivière serpente tranquillement dans les prairies. Merrain international, est une entreprise incroyable ou l’on débite et prépare les fameux merrains de chêne qui serviront à fabriquer les futs de vin.

Merrain international, acteur de la filière bois dans les Vosges.

Paysage bucolique des Vosges du sud Ouest
En bas à gauche, le pont des Prussiens .
Les billes de chêne sont fendues en quartier. (Copyright Michel Laurent)
Les pièces de chêne débitées sont séchés à l’air pendant de long mois avant d’être profilés et devenir des merrains. (Copyright Michel Laurent)
Fut de chêne assemblé par un tonnelier. (Copyright Michel Laurent)

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Fertil Pot au Syndicat

Fertil pot, est un fabricant français de pots biodégradables, plantables 100% naturels en fibres de bois, l’entreprise se trouve au Syndicat / Vosges. Reportage:

Le concept est simple encore fallait il y penser. Le bois de résineux est cuit, destructuré, broyé, mélangé à de l’eau et de la tourbe et moulé. Le pot est ensuite mise en terre avec sa graine, qu’il fertilise… Simple et écologique.

Fertil pot est un acteur de filière bois Vosges.

Bions d’épicéas provenant du secteur.
Les bois sont cuits et séchés, puis broyés.
Moulés en différentes formes en fonction de la demande.
Les pots fertil pot sont envoyé un peu partout dans le monde.

Plans de tomates qui sont nés dans les pots et prêts à être mis en terre directement, tel quel !
Pied de vigne

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Bol d’Air La Bresse. La loc de ski

Si vous n’avez pas votre matériel, alors c’est passage obligé
à la « loc de ski », avant « le tire fesses »

2 chaussures, 2 bâtons, 1 casque, important le casque… Et, 2 skis bien sùr , et pas des nanars, non non des skis récents qui vont bien. Le matos est entretenu, farté, nettoyé et le « ski Mann » de faction saura vous conseiller, mais sa mission s’arrête là. Sur la rouge, ou pire sur la noire y faudra vous débrouiller pour tourner et vous arrêter. Une loc. de ski, une vraie, c’est toute une ambiance et une équipe avec ses blagues, ses expressions et ses conseils. Le tout dans la bonne humeur !

Bol d’Air La Bresse

Une histoire de pointure !
Mauve ou bleu ? En plus d’être esthétique un ski est un objet très technique
Les bons conseils sont toujours bons à prendre
Ben voilà ! Tout shuss ! direction La Bresse Hohneck domaine de La Belle Montagne

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La force hydraulique, une vieille passion. Reportage

L’énergie Hydraulique, est sans aucun doute l’énergie la plus simple et la plus propre, bien que la construction de barrages cause parfois des bouleversements géographiques. La demande d’ énergie étant toujours grandissante, il faut garder en tête que le kw le plus propre est celui que nous ne consommons pas…

Un barrage « type » sur une rivière des Vosges. La Moselotte.
Prise d’eau, canal d’amené et déversoir.
Un système hydraulique est assez simple.
Déversoir juste avant la conduite forcée, le dernier surplus d’eau retourne à la rivière
Mécanisme de régulation du déversoir d’ un canal sur la Moselotte.
Cette rivière est un des cours d’eau le plus hydraulique de France en terme d’installations au km.
L’eau est une richesse et un bien commun.

La force hydraulique a permis l’ essor industriel des vallées, notamment le textile.
Canal au Ejol à Zainvillers.
Site abandonné sur un ruisseau.
Ancien site hydraulique qui alimentait une tournerie. C’est le ruisseau du Rupt de Bamont ou j’ai grandi qui m’a inspiré ces différents reportages

Projet « A Force d’eau ».

Egérie du projet « A Force d’eau »
Canal d’amené et au fond la cheminée de l’usine. Le village, l’usine …
Roue à eau en bois sur une scierie. Musée du Bois à Saulxures
Système de type Pelton sur une petite turbine familiale, comme il en existe beaucoup dans les Vosges.

L’énergie hydraulique permet de fabriquer de l’électricité, dans les centrales hydroélectriques, grâce à la force de l’eau. Cette force dépend soit de la hauteur de la chute d’eau (centrales de haute ou moyenne chute), soit du débit des fleuves et des rivières (centrales au fil de l’eau)

Conduite forcée industrielle. RME La Bresse Régie municipale d’ électricité.

Double roues de type Francis.
Roue de type Francis moderne, à la Bresse. RME.

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Reportage Le Bois des Lutins à La Bresse

Reportage en couleur au bois des Lutins à La Bresse Bol d’Air, il n’y avait pas que des enfants pour rire et jouer dans la forêt. Les équipements et les effets lumineux deviennent féeriques entre chien et loup, et changent encore une fois la nuit tombée. Exercice intéressant en photo, j’aurais du prendre un magnéto pour chopper des sons des cris, des rires et des accents !

Le bois des lutins, c’est pas que pour les gamins … On imaginerait facilement un gros banquet sous le filet et une piste danse ou petits et grands pourraient tourner et chanter pour oublier un moment seulement, ce monde de dingues…

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Les Jolis Chalets, Barbey-Serroux

Retour avec les beaux jours sur un reportage du coté de Barbey – Serroux et le Jardin Des Jolis Chalets. Une bande de potes comme figurants et, figurantes pour être comme à mon habitude dans la vraie vie. Des gîtes douillets cachés dans une clairière et des équipements au top et, cerise sur le gâteau, une piscine.

T’es là, j’te jure, tu bouges plus …

On a fait plein de photos et bien rigolé, normal on était dans la vraie vie…

Je vous laisse voir sur le site pour les résa.

Salut

Le Champ des roches
https://lesjolischalets.fr/
Inspiration du « Cœur des Hommes », je l’avoue…
On est pas bien là ?!

Spa privatif sur chaque chalet

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Pour le fun…

Une vidéo qui date un peu, mais pour ces derniers beaux jours de ski, ça méritait de la ressortir. Un peu de tout, sur des skis, du bon ski !

La Bresse, Les Champis, Le Hohneck, le Kastel…

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Atelier DUFALA à Deyvillers

Depuis le temps que je devais passer par l’atelier d’ Anne Dufala et de Denis Valdenaire. ( sur les conseils de Olivier Claudon) C’est chose faite…
Il y a un peu de 19, voir même de 18 ème siècle de ce coté de Deyvillers, tant au niveau des matériaux, de la noblesse du geste, des décors et des références. On a parlé « faubourg Saint- Antoine » et « des Dames du Faubourg » de Jean Diwo, et bien sur « Des piliers de la Terre » de Ken Follet. On avait les mêmes lectures… L’atelier et même tout le quartier est un génial bric à brac pour ces sympathiques passionnés. Un retour dans un passé où les artistes artisans avaient une place indispensable à la vie d’une cité. Sculpteur sur bois, sur pierre, doreuse, restauratrice. Le bois la pierre, la dorure l’ or …

Atelier DUFALA c’est un véritable spectacle.

Une feuille d’or presque aussi légère que l’air
Derrière Anne, une Vierge et l’enfant veille …
Surprise. Restauration d’un angelot
Une table d’opération de restauration.
A l’extérieur Denis. Calcaire, ciel bleu, le Thuya ressemble à un If .Décor Provençale du coté d’Epinal
Travail sur un bloc de calcaire
Anne et Denis, dans leur monde !

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Communication visuelle Clinique vétérinaire 38,5° Epinal.

Une version noir & blanc issue de plusieurs journées de reportage. Des femmes et des hommes dans leurs missions.

Des animaux jamais stressés et des espaces adaptés.

Des sourires … C’est tellement mieux avec le sourire.

REMISE des DIPLÔMES ENSTIB

REMISE DES DIPLÔMES – Les promos 2020 et 2021 ont reçu leur diplôme ce 19 février à Epinal. Après une année sans cérémonie, ce fut une rencontre émouvante et animée, en présence de 162 diplômés et de leurs enseignants, familles et amis. Merci aux élus présents, aux partenaires, personnels et enseignants de l’école, ainsi qu’à la presse.

Lorraine INPUniversité de Lorraine

La traditionnelle photo de groupe.
Discours de Laurent Bleron, directeur de l’Enstib
Une heureuse diplômée
Patrick Nardin, maire d’Epinal
Elisabeth Del Génini. Communauté d’Agglomération d’Epinal
Daniel Gremillet, conseiller Regional.
Diplôme d’honneur à Denis Dagneaux, directeur de l’ONF des Vosges
le Lapachol Orchestra de l’ Enstib
Louis Triboulot, heureux diplômé !
Flavie Najean, évidement !

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Exposition Julius NATTERER / Forêt Bois Construction 2022

Exposition Julius Natterer (1938-2021†) pendant le FBC22″Seule l’utilisation accrue du bois dans la construction est en mesure de sauver les forêts du monde ».Grand maitre de la construction bois contemporaine, spécialiste des grandes structures, pionnier de la protection de l’environnement, cet ingénieur hors norme, Professeur Ecole polytechnique fédérale de Lausanne / IBOIS, conférencier magistral, considéré comme génie de son vivant s’élève désormais au stade de légende laissant derrière lui plusieurs générations qui s’emploient à construire un monde respectueux de la nature.Son fils Johannes Natterer, dans la lignée, lui-même ingénieur bois et Professeur EPFL, a sélectionné 30 projets remarquables, certains devenus emblématiques, d’autres plus confidentiels, mais tous ont un dénominateur commun : l’optimisation de la matière en évitant les colles et le nombre d’appuis en développant la grande portée. « Bien conçu, c’est à moitié calculé », répétait-il, plaçant ainsi très en amont, la collaboration de l’architecte et de l’ingénieur. Au fil de ses 100’000 dias présentées de par le monde, il aura su éveiller auprès de milliers de jeunes ingénieurs et architectes, la passion de la pureté des lignes et de l’amour du matériau bois.Précurseur sur bien des sujets, il fut le premier à valoriser les connexes (les dosses) pour en faire les « Brettstappeln », il a conçu des dizaines de tours en bois, démontré l’excellente tenue au feu du matériau, conçu des toits géodésiques et des structures remarquables qui sont encore utilisées.Que cette exposition inspire et ouvre la voie vers de nombreux projets biosourcés qui permettront de tendre vers un monde décarboné riche de forêts ressourçantes.Plus sur le FBC22 https://lnkd.in/df5nQssFaculté de l’environnement naturel, architectural et construit ENAC – EPFL / Cedotec – Lignum office romandLignum Vaud

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« Le Cri silencieux » La Chasseuse cueilleuse.

La forêt est notre mère, nous venons tous du ventre d’une femme.

Réflexions autour de la forêt et de nos origines, la forêt se meurt, elle devient produit.

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Communication visuelle. La Bresse Hohneck – Le Bistro Le Tétras.

Retour et livraison des visuels sur le reportage du mercredi 9 Février. Petit tour d’horizon sur la planète La Bresse Hohneck. Des Femmes et des Hommes dans la vraie vie. Oui, la station de ski est le moteur de notre vallée. Ne l’oublions pas…

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Communication visuelle. Gîte « Le Repaire du Faon » Plainfaing.

Un nouveau gîte vient de naitre à Plainfaing, lumineux, spacieux et décoré avec gout. « Le Repaire du faon ». Au bord du Rudlin, à deux pas de la confiserie des Hautes Vosges au bord de la forêt et pas loin de tout. https://www.facebook.com/LeRepaireduFaon

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Communication visuelle « Du Pain au Lard » La Bresse.

Le nouveau site web est en ligne. Plus lisible et encore plus gourmand … https://www.du-pain-au-lard.fr/

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Reportage La Belle montagne. La Bresse Hohneck.

« Le Tétras » à la Schlucht

Immersion et découverte à la station de La Bresse Honneck. #Episode 1.

Le Skishop, la location de matériel, le domaine skiable, le restaurant, le bistro « Le Tétras » à La Schlucht… La neige, le soleil et les sourires de Sara, Muriel, Pauline, Ambre et Lisa !

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Scierie Germain Mougenot. Suivi de chantier.

Phase finale sur le chantier de la nouvelle usine.
Scierie Germain Mougenot / Lorraine Pellets Saulxures/ Mtte

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Reportage Fives Cryo. Golbey

Reportage ce matin au Hall 2 à Golbey. Entreprise Fives Cryo.
Une « Boite froide » de 143tonnes / 23m x 6,3m x 6,2m. Elle entamait ce matin son voyage en passant par le port de Frouard (Nancy) pour être transportée sur une barge jusqu’au port de Rotterdam où elle embarquera sur un porte containers pour la Corée du Sud. Elle sera installée sur un site de pétrochimie pour de la production d’éthylène.
De nouveau, une belle réalisation de l’entreprise.

#Fives

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Du haut de mon escabeau… Essai Dji Air2s

Les couleurs reviennent. 05.02.2022

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Florilège de douceurs, retrouver avec la photographie, la texture et la sensualité du beaux tissus. Prise de vue catalogue Linvosges Hôtellerie.

Le linge de lit, là où on s’endort, où l’ on s’aime, et rêve aussi …

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Reportage « Transporteur de grumes » Filière bois Vosges.

Les Transports Claudel à Saulxures sur Moselotte. 4 -ème Génération.

Anthony, 32 ans, fils de Régis, petit fils de Roger, arrière petit fils de Léon.
Et, en plus. Sans oublier Robert, le grand père maternel, bucheron !
Une famille de forestiers.
Pas sérieux s’abstenir !
Dernier maillon forestier, il récolte les arbres qui sont devenus des grumes ou des billons.
Gros bois !
Conduire un camion grumier est une activité hors norme. Tout est surdimensionné ! Le gabarit, la puissance, les conditions de travail.
Les hautes Vosges. Le Rothenback.
Arrivé à la scierie, l’ arbre devient bois. Il sera palette, charpente, violon ou cercueil.
Anthony Claudel, les pieds bien sur terre devant son outil de travail.
Un V8 de 770 chevaux et 22 roues.

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Suivi de chantier. Scierie Germain Mougenot Saulxures.

Nouvelle grue d’alimentation en cours d’installation, nouvelle déligneuse, usine à pellets en cours de finalisation.
Usine à pellet

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Reportage journée Sécurité à JC Logistique. Groupe Livio.
Fresse sur Moselle.
Des ateliers, des informations et des sourires  » masqués  »

Christine Godin. A2C

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Reportage à l’atelier de la tournerie. Hélène et Gilles à La Bresse.
Dernières photos réalisées pour le livre « Le Peuple du Bois » Les Editions du Signe.

Tournage d’art, les arts de la table.
Hélène aime les champignons

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La station de La Bresse Hohneck.

Le Tétras à La Schlucht

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Suivi de chantier CATEMO. Ex banque de France à Remiremont.
Projet d’hôtel Ht de gamme. « Le Chapitre. »

L’ancienne Banque de France

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L’eau vive

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Livraison de la vidéo. Clinique vétérinaire 38.5 à Epinal

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Prises de vue gastronomique.

Le chef Olivier Pichot

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Selection de visuels. « Chasseuse cueilleuse » Le Peuple du Bois

Chasseuse cueilleuse. Filière bois

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Mise à jour du site

www.michel-l.com

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Ouverture du gîte Les Trésanes à Saulxures sur Moselotte

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Prise de vue Tissus Gisèle. Hôtel Interlaken à Xonrupt

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Rando raquette secteur de Ventron

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Prise de vue Linvosges Epinal. Hôtel Mercure

Collection Linvosges

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Filière bois. Scierie Mathieu Xonrupt

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Transports Claudel. Filière bois

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Filière bois
Les banques d’images, encore et toujours
Pleine page sur la magazine 100% Vosges. Visuel Russe !
Collection Lard de Vivre
L’ESF de La Bresse Hohneck
Association les cueilleurs de pommes. Ballast sur Cornimont
Le bois des Lutins. Bol d’Air La Bresse
Muriel Mangeol. Collection Créol’in Gerardmer

Le Voltaire des Montagnes

Sorti de mon imagination et de sa mission première qui est d’accueillir des derrières. Le fauteuil Voltaire revisité.

Les gens des Hauts !
Filles et petites filles !
Les volontaires !
Fanny, Olivier et les Vaches !
La belle et les frères !
Profession débardeur !
Le repos du bouilleur !
Bol d’air et gentiane !
Les jardins de Bernadette !
Nathalie sous sa chute !
La fille voyageuse !
Anne en botte !
Mumu la complice !
Virginia rêve d’une carrière musical !
François sur son altiplano !
La prof d’anglais au sommet !

« Du Pain au Lard »

Tu aimes mieux ton père ou ta mère ?
J’aime mieux le lard !

Il est des boutiques comme ça où l’on tombe de suite amoureux. Le magasin « Du Pain au Lard «  à La Bresse est de celle-ci.

L’équipe, qui compte une quinzaine de passionnés en boulangerie, boucherie, charcuterie, traiteur, j’en passe et des meilleurs, cultive la tradition des choses bonnes et bien faites. Et ce n’est pas moins de 98% de ce qu’il se retrouve en vitrine qui est fabriqué sur place, ça cause ! Le défi et les missions sont élevés, à une époque ou beaucoup de professionnels sont surtout des revendeurs, « le fait sur place » mérite que l’on se gare devant.


1A Grande Rue, 88250 La Bresse –
03 29 25 10 28

Ce qui apparait de suite à l’entrée du magasin, c’est le fumoir. Il se voit et il se sent. L’odeur amicale du feu de bois mélangé aux effluves de jambons, saucisses et autres lardons. Le Fumoir, est au centre de l’histoire quant au lard fumé, il en est même l’acteur principal.

Le fumoir, incontournable…

La viande fumée dans les Hautes Vosges, c’est une tradition, presque une religion. Dans un passé pas si lointain, on élevait un ou deux cochons dans les fermes, et comme dans le cochon, tout est bon, ils nourrissaient toute la famille sur une année. La viande était fumée avant tout pour des soucis de conservation. L’air, l’altitude et l’expérience presque ancestrale a fait que la viande fumée fait partie des mets préférés des Vosgiens, mais aussi des Alsaciens, tous proches.

La corbeille type. Saucisses, lard, pièce fumée, filets mignons… La base !

Quelques chiffres: « Du Pain au Lard » c’est 14 personnes, 7 salariés, 4 apprentis, 1 contrat pro et 1 brevet de maîtrise et bien sûr Hervé Grandemange, le Boss !

L’équipe fabrique quasiment 98% des produits vendus, et environ une petite dizaine de stères de bois de hêtre sont brulé dans le fumoir.

En ce qui concerne la viande, et la plupart des produits, ils proviennent de producteurs, d’éleveurs et de fournisseurs proches.
C’est une équipe de professionnels et de formateurs ce qui permet de régaler la clientèle avec des produits artisanaux de qualité.

Saucissons secs en cours de séchage.
Les plats cuisinés à emporter et les menus à retrouver chaque semaine sur Facebook.
Les fiches recette et les idées de présentation…
Les pâtés Lorrains, évidement…
Terrines et foies gras.
La formation continue.
Une idée sympathique, les semis – conserves.

Mais Dans « le Pain au Lard » il y a aussi « pain ».Et là aussi il y a matière à gourmandise. Evidement tout le pain est fabriqué sur place et avec des farines « de pas loin ».

Du pain, mais pas que !

Muriel, alias Mlle Serge

Avec Muriel, c’est 10 années de photographie et de vidéo, ça crée des liens, une amitié et une confiance. Ensemble, on a exploré beaucoup de style d’images, fixes et animées, on a partagé de bons moments et essuyé quelques revers… Il en faut.

Sur scène, en Mademoiselle Serge, dans les entreprises, pour des marques, des idées, ou juste pour rigoler, à la ville et dans la nature. On a fait des centaines de kilomètres, des milliers de visuels, des heures de montage pour un style de photo, un regard sur la femme, la mère ou l’ actrice. Une femme actuelle.

Vous avez toutes un coté Mademoiselle Serge, un coté Muriel.



Grace à elle et dans ce registre, j’ai pu m’exprimer et apporter mon regard sur la photographie de Femmes. Le respect et la bienveillance dans l’approche et dans la façon de …. Et je l’espère en toute humilité. Comme on ne récolte que ce que l’on sème, elles me le rendent bien. Merci les dictons et merci Muriel.

Dans les Vosges, on l’aime bien la Blonde de Plainfaing et on est pas peu fiers lorsqu’ elle est à l’affiche. Comme nous tous, et comme beaucoup d’artistes elle vit des moments difficiles. Privée d’expression, confinée, masquée, interdite de scènes et de publics, ses seules fenêtres sont des écrans.

Elle incarne une génération ou tout devrait être possible.

Mon mode d’expression m’autorise à travailler dans l’ombre pour peu qu’il reste un peu de lumière.

Alors on fait des photos, encore et encore, on existe et on ne lâche rien…

Sports Passion La Bresse.

La scène bien sûr, incontournable et vitale. Long travail d’ écriture et de métamorphose.

Puis la rencontre avec le public.

L’idée de l’égérie, ambassadrice d’une marque, d’un concept, un sourire, une silhouette pour s’identifier, exister. Alors, on est parti sur la route pour rencontrer les entreprises des Vosges, parce qu’on aime les Vosgiens qui travaillent, qui se lèvent tôt. Donner la parole par l’image, montrer raconter et toujours avec de l’humour. Encore et encore… Qui nous aiment, nous suivent. Merci à vous, ils se reconnaitront.

Bol d’Air La Bresse.

Créol’in Gerardmer




La Nature bien sûr, incontournable au centre de nos démarches.

Muriel a une complice, Sara, jamais bien loin. Elle nous suit parfois sur des projets. Sara c’est la version Brune de la Blonde.


Et là c’est la double peine … Que la lumière fut !

Vous l’avez compris, le duo et parfois même le trio fonctionne bien.

Parce qu’on arrive toujours à tout avec le sourire et la bienveillance avec une pointe d’humour.

Prenez soin de vous, c’est pas peu dire !

Merci…

© Michel LAURENT Janvier 2021

https://www.facebook.com/mademoiselleserge

Eaux de vie et liqueurs…

Eaux de fruits, eaux de vie, liqueurs et digestifs, la « gnole », la « goutte », et autres douceurs viennent de fruits, de plantes et même parfois de fleurs.

Le bouilleur de cru est un magicien devant son alambic.

Le fruit devient liquide.

Le mot alambic vient de l’arabeal ‘inbïq, lui-même emprunté au grec tardif ambix (= vase). L’alambic fut d’abord utilisé pour fabriquer des eaux florales, des huiles essentielles ou des médicaments, avant de permettre la production d’eaux-de-vie par distillation de jus de fruits fermentés1. Le type le plus ancien qui nous soit parvenu date de 3500 av. J.-C. et provient du site mésopotamien de Tepe Gawra au Nord de l’Irak2. On trouve la plus vieille mention d’un alambic sur une tablette babylonienne en cunéiforme vers 1200 av. J.-C.3. Cette tablette mentionne également Tapputi, une parfumeuse babylonienne considérée comme la toute première chimiste4. Dans la période récente, Abu Al-Qasim (Aboulcassim) aurait décrit un alambic au xie siècle et celui-ci aurait été inventé par Jabir ibn Hayyan (ou Geber en latin) au viiie siècle5.

Les alambics sont, ou mobiles ou statiques. Posés sur des remorques, jadis tirés par des chevaux, itinérants, ils bougent de villages en villages au gré des demandes, des saisons et des récoltes. Plus fréquemment, ils sont installés à demeure dans des remises ou des dépendances à l’écart, ce sont souvent les alambics de villages. On appelle bouilleurs de crus, la profession des gestionnaires d’alambics.

Tout ceci est bien sûr très contrôlé. Ne distille pas qui veut.

Thermomètres à alcool qui sert à peser le taux de sucre et donc d’alcool au cours de la distillation.
La méthode n’est pas d’hier et ne s’improvise pas. Elle est le « fruit » d’années d’expérience.
Pascal BARTHELEMY bouilleur de crus à St Dié des Vosges. L’homme est passionné et passionnant. Pascal partage son temps et sa vie entre les beaux alcools, les chevaux, sa famille et ses amis.
Un amoureux XXL de la vie, un ami de longue date !


Bien que la méthode soit assez simple, la pratique est subtile et complexe. Il faut maîtriser parfaitement le feu et donc, la température de cuisson des fruits, de manière à ce que la distillation soit parfaite. L’alcool terminé doit conserver et rendre les parfums des fruits utilisés. Une fois en bouche le connaisseur et le gastronome sauront retrouver là, la mirabelle, là la poire…

Et bien que fort en alcool (45°) cela doit rester un moment agréable d’échanges et de convivialité.

A consommer avec modération bien-sûr.

L’ambiance dans une distillerie traditionnelle est particulière. Les parfums et les odeurs y sont exagérés, enivrants.

Tout ou presque peut se distiller, fruits, plantes et fleurs, les résultats sont parfois surprenants.

Au bout de l’histoire, la mise en bouteille et l’étiquetage. Et enfin une période de vieillissement avant d’être consommé.